Pour ce quatrième numéro de L’Heure la plus sombre, nos animateurs-journalistes Vincent et Xavier recevaient Dimitri Korias pour son ouvrage La Télévision malade du sionisme.
Des activistes sionistes ont ces derniers temps travaillé sans relâche pour la même cause : la dislocation des États arabes et musulmans en de plus petites unités sectaires.
Postulat extrapolable : en lui imposant le modèle mondialiste israélo-américain, l’élite contemporaine a fait du Français un étranger dans son propre pays.
La guerre au Rwanda fut aussi une guerre, par forces d’interventions humanitaires et ONG interposées, entre la France d’une part, les États-Unis et le Canada d’autre part.
Nous avons souhaité savoir, à titre d’exemple, quelle place occupe ledit laboratoire en région Rhodanienne et nous avons pour ce faire contacté cent pharmacies.
Marion Sigaut revient sur son parcours, de l’expérience du kibboutz israélien à son travail d’historienne en passant par sa rencontre avec Alain Soral.
Le 20 juin, Civitas organisait une manifestation à Paris en soutien aux chrétiens d’Orient et contre l’axe Washington-Riyad-Tel-Aviv, premier responsable du chaos au Proche-Orient.
L’évacuation, le 29 avril 1975, des ressortissants américains et leurs affiliés à Saigon, pose une question lancinante : cet événement peut-il survenir en Israël ?
Appliquant scrupuleusement les consignes de la communauté organisée, E&R souhaite par ce petit zapping mensuel rattraper son retard en matière de devoir de mémoire...
E&R Haute-Savoie a rencontré Ayssar Midani, citoyenne franco-syrienne, pour une conférence-débat sur la situation en Syrie et les causes réelles de la guerre.
Aujourd’hui, la bipolarité semble avoir muté en un affrontement entre les pro et les antisionistes. Peut-on reformuler une géopolitique contemporaine sur cette base ?
Lors de la manifestation organisée le 14 mai 1990, 80 000 personnes selon la police, 200 000 selon les organisateurs, avaient défilé dans Paris. Au profit de qui ?