Egalité et Réconciliation
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Pourquoi l’affaire du pédocriminel Jean-Philippe Desbordes n’a jamais fait la une

C’est simple, cette ordure était un journaliste de gauche, apprécié par toutes les rédactions de gauche. La preuve en image avec Wikipédia (que Libé avait maladroitement tenté de modifier au moment de la révélation des faits).

 

Naturellement, la rédaction de droite de Sud Radio, sous la houlette de Stéphane Simon, saute sur l’occasion. À ce propos, il est bon qu’il y ait une presse de gauche et une presse de droite pour que toutes les affaires, qu’elles touchent la droite ou la gauche, sortent. La presse de gauche doit sortir les affaires de droite, et la presse de droite les affaires de gauche.

 

 

Le problème, c’est quand la presse est à 90 % à gauche. L’écho d’une affaire touchant la gauche n’est pas le même, il est 10 fois moindre qu’une affaire de droite qui sort dans la presse de gauche. Dans ce cas, c’est l’artillerie lourde, les cymbales et la grosse caisse.

Desbordes est un pédocriminel en famille et en cours doublé d’un escroc (aux diplômes notamment), qui a pigé littéralement partout. La gauche a fait travailler cet escroc pédocriminel sans sourciller pendant des années, puisqu’il matchait parfaitement avec l’idéologie de gauche.

Vous voyez le danger : si vous marchez sur les bons rails, vous pouvez être une ordure finie, ça ne posera pas de problème. Si vous sortez des rails, ne serait-ce que d’un pas, alors vous serez une ordure finie pour la meute (l’orchestre médiatique majoritairement de gauche), même si vous êtes un bon pro et /ou quelqu’un de bien.

 

 

L’affaire Desbordes révèle cette dérive inquiétante, qu’on peut multiplier par tous les cas qui ont touché la presse de gauche, qui a toujours caché et défendu ses enfants malades, comme l’école (de gauche) qui a toujours planqué, muté ou défendu ses profs pédophiles. En revanche, la presse (de gauche) tire à boulets rouges sur l’Église (de droite) prétendument pédophile.

Application à une affaire de gauche sortie par la presse de droite

C’est l’affaire Legrand-Cohen contre Dati. Le Figaro résume la chose :

France Inter a annoncé vendredi soir avoir suspendu d’antenne son chroniqueur Thomas Legrand, après la diffusion d’une vidéo le montrant tenir des propos litigieux visant la ministre de la Culture, Rachida Dati, devant des responsables du Parti socialiste.
Au cours de cet échange révélé par le mensuel L’Incorrect, Thomas Legrand, par ailleurs journaliste à Libération, déclare notamment : « Nous, on fait ce qu’il faut pour Dati, Patrick (Cohen) et moi », c’est-à-dire contre elle dans sa course à la mairie de Paris à laquelle elle est candidate.

 

Et c’est là où ça rejoint notre démonstration, Thomas a été suspendu d’antenne, mais pas Patrick. Cohen qui pourra.

Même si on n’est pas pour la fracture droite/gauche, établie par le pouvoir profond pour mieux dominer le peuple français, une fracture qui vient aussi de l’histoire et que le pouvoir profond entretient, on doit reconnaître que la confrontation entre une presse de droite et une presse de gauche permet, théoriquement, aux affaires de sortir. C’était le cas, par exemple, de Minute et du Canard enchaîné dans les années 70.

Sauf que, et c’est là le hic, les deux presses (mainstream) se mettent automatiquement d’accord (sans même se rencontrer ou en parler) pour ne pas parler des affaires qui touchent le pouvoir profond, affaires qui se situent au-dessus des affaires de droite et de gauche. Là, l’omerta est totale.
Dans ce cas, la seule solution, c’est la presse internationale... que les Français ne lisent pas. Heureusement, il y a le Net, et X en particulier pour contourner le mur de l’Atlantique. C’est ce que révèle, par exemple, l’affaire Brigitte, qui explose aux États-Unis mais pas en France.

 

 

Or, ces affaires, celles du pouvoir profond, sont les mères de toutes les affaires. Le problème, c’est que peu de journalistes y vont : le terrain est miné, miné de pièges et de suicides.

Là-dessus, on constate une dernière chose : les journalistes mainstream ont un mal fou à parler de pédocriminalité, surtout quand ça touche le politique. On ne sait pas pourquoi, mais c’est le silence intégral. Une peur venue du fond des âges...

 

Jean-Philippe Desbordes, la honte de la gauche médiatique