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Pujadas tétanisé par un mot : « Rothschild »

Pourquoi l’animateur des débats (truqués) sur LCI est-il terrorisé par le mot Rothschild ? Serait-ce un mot magique ? Maléfique ? Bénéfique ?

 

Au vu de la réaction du journaliste-relayeur (des ordres du Château et du pouvoir profond), ce serait plutôt dans la catégorie maléfique. C’est ça qui est drôle : en voulant protéger les Rothschild – fantasmés comme le pouvoir suprême – et par la même occasion son job, Puje donne paradoxalement au mot Rothschild une connotation négative : répressive, liberticide, terroriste.

« On va pas s’engager dans ce débat-là ! »

 

Prononcer le mot Rothschild sur un plateau vaudrait excommunication, c’est le non-dit qui règne dans tous les médias mainstream. Il faut en finir avec cette peur tétanisante. Nos journalistes doivent avoir le courage de prononcer ce mot et de l’expliquer, sinon ils seront esclaves de leur peur à vie. Mike Borowski, lui, y va à fond les potirons. C’est la méthode dite directe, ou brutale : on essaye de passer en force et on calcule les dégâts après.

 

 

Pour l’instant, Mike étant toujours vivant – il ne semble pas suicidaire –, on aboutit à une première loi : Rothschild est un mot interdit sur les M2 (médias mainstream), pas sur les RS (réseaux sociaux). Tout est donc une question d’oreille  : si l’oreille est confidentielle, disons sous le million, Rothschild passe. Si l’oreille dépasse le million, Rothschild ne passe plus. On a mis million mais ça aurait pu être plusieurs millions.

Dans cette vidéo, Greg Focker s’énerve contre l’hôtesse de l’air pour une histoire de bagages. On sait tous qu’on ne peut pas prononcer le mot bombe dans un aéroport, surtout aux États-Unis. La technique de Greg, c’est de saturer l’espace aérien de « bomb bomb bomb », un peu comme les Iraniens ont saturé de drones le dôme de fer israélien pour toucher des bases militaires avec des missiles lourds.

Cop : You can’t say bomb on an airplane.

Greg : Bomb bomb bomb, Bomb bomb bomb, Bomb bomb bomb Bomb bomb !

 

Rothschild est un nom entouré de mystère, qui fait encore trembler – les chèvres des médias – 250 ans après Amschel. Ce mot symbolise la frontière entre les vrais et les faux journalistes, il distingue le bon grain et l’ivraie.

 

 

En même temps, Gaël Giraud, quand il a évoqué le nom interdit, il a disparu des médias.

« L’arrivée d’Emmanuel Macron à Rothschild a été un enjeu décisif pour lui, au sens où il a été pris, si je comprends bien, sous la coupe de David de Rothschild, l’ancien PDG de cette grande banque, et qui en 1981 a perdu sa banque à cause de la nationalisation. Donc David de Rothschild est un homme tout à fait honorable mais qui a aussi une revanche à prendre sur les nationalisations de 81, et qui lui a un grand projet, on pourrait dire eschatologique, qui vise la fin des temps, qui est la privatisation absolue du monde, et la médiocrisation si je puis dire de l’État, de manière que un traumatisme comme les nationalisations de 81 ne soit plus possible. »

 

La mort de Gabriel Libert et d’Olivier Marleix

 






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