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Ursula, l’agent des Américains

Leyen fait semblant d’avoir perdu le bras de fer contre Trump, qui a carrément mis l’Europe à l’amende. On ne peut comprendre cette stupéfiante faiblesse dans la négociation si l’on pense, comme Rafik Smati, que Leyen travaille pour les Européens. En revanche, si on suppose qu’elle bosse pour l’Oncle Sam, tout s’éclaire.

 

 
 

Maïsto résume la catastrophe sur X :

❌ Après des sanctions ubuesques qui ont abouti à ce que notre prix de l’énergie bondisse en flèche, ruinant nos artisans et nos travailleurs, la Russie a eu une croissance deux fois et demi supérieure à la nôtre en moyenne ces trois dernières années

❌ La filière nucléaire a été détruite par Hollande, Voynet, Borne, Macron, lequel tente de la relancer dans l’urgence comme une poule ayant trouvé un couteau, entre deux coups de fil médiatisés où il se met en scène comme un ado attardé, provoquant une moquerie planétaire

❌ L’Ukraine et les États-Unis ont saboté Nord Stream sans aucune protestation des Européens : normal, ils ne sont que les employés des États-Unis, dont ils défendent les seuls intérêts

❌ Ursula Von der Leyen, qui a « négocié » au nom de tous les pays de l’UE, a évidemment tout lâché à Donald Trump, qui non seulement a fixé des droits de douane à 15% mais nous oblige à financer son complexe militaro-industriel et son énergie (gaz de schiste notamment)

❌ Cela signifie que nous paierons au moins un tiers plus cher une énergie qui, pour être utile, doit passer par des processus qui sont autant de catastrophes écologiques

Il était impossible de faire pire.

La soumission à l’Empire, c’est le sort de l’Allemagne, qui donne ses directives à la France depuis les années 80 (Mitterrand sous Kohl) et qui dépend de l’Amérique pour sa sécurité depuis 1945.

La fabrication du danger russe est une aubaine pour les industriels américains, qui vont nous refiler pour très cher leur déjection militaro-industrielle et leur gaz de schiste pourrave. L’UE était vérolée dès le départ.

 

 

Après la France, désindustrialisée par l’Allemagne, voici l’Allemagne désindustrialisée par l’Amérique, qui lui a coupé le gaz russe, vital pour sa machine de guerre économique. Il ne reste plus à l’Allemagne, pour sauver ses marges, qu’à réarmer, c’est pourquoi Merz reprend le flambeau de Barbarossa.

Les Européens seront en première ligne dans la guerre contre les Russes, que le couple Starmer-Macron veut à tout prix, afin de camoufler leur désastreux bilan. Tout concorde, tout fusionne, les dirigeants européistes nous entraînent vers l’abîme. Pour Villepin, c’est du petit lait.

La preuve est faite, pour ceux qui l’ignoreraient,

- que Bruxelles est bien le cheval de Troie de l’Amérique ;
- que les dirigeants de la Commission sont des traîtres et des vendus ;
- que l’Europe vient d’imploser.

Preuve est aussi faite qu’il ne reste à l’Europe que la guerre contre la Russie pour se refaire, comme un joueur qui a tout perdu et qui mise tapis sur tapis, mais qui ne fait que s’enfoncer parce qu’il n’a plus les cartes...

 

L’UE, ce club de cons et de salauds

 






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14 Commentaires

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  • #3551268
    Le 29 juillet à 21:55 par armata
    Ursula, l’agent des Américains

    M. Soral avait encore raison.

    L’application des tarifs douaniers par le Président Trump prouve que l’économie, c’est un rapport de force.
    Tout le reste n’est que du blabla.

     

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  • #3551271
    Le 30 juillet à 00:46 par Francois Desvignes
    Ursula, l’agent des Américains

    Trump a commis une grave erreur : il a signé un contrat de commerce avec une entité en soins palliatifs.

    Il en a commis une seconde : la seule exécution de ce contrat précipitera la mort de son client moribond.

    Pour une raison très simple : la France , maillon faible de l’UE et exsangue, ne pourra pas payer.

    Je me demande si Trump n’est pas un agent involontaire de Moscou ?

    Parce qu’un vassal ruiné divisé et fâché avec son suzerain, est forcément un vassal en sursis.

     

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    • #3551314
      Le 30 juillet à 17:12 par Pamfli
      Ursula, l’agent des Américains

      Droits de douane : Emmanuel Macron estime que l’UE n’a pas été assez « crainte » par les Etats-Unis et affirme que la France « n’en restera pas là » - Article de l’imMonde

      Il faut ajouter dans le CIM et le DSM le syndrome du winner de la startup nation : avec l’appui de l’affaire Macreux-Trognon, va-t-il également déposer une plainte contre Trump pour concurrence déloyale envers un pays soumis ?

      Les élites de ce pays ne sont rien depuis longtemps, des larbins : "celzéceux qui ne sont rien", dans l’inversion totale.

       
  • #3551287
    Le 30 juillet à 07:43 par Charles
    Ursula, l’agent des Américains

    Asselineau a raison depuis longtemps : FREXIT, et vite ! Seule voie de secours pour sauver ce qui reste de meubles.

     

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    • #3551299
      Le 30 juillet à 10:09 par Azerty
      Ursula, l’agent des Américains

      Écoute plutôt Philippot qui se bouge inlassablement pour mobiliser les masses !

       
    • #3551302
      Le 30 juillet à 10:22 par nico
      Ursula, l’agent des Américains

      Oui, il a par aillleurs mis le doigt sur l’hypocrisie de tous les politiques qui s’indignent de cet accord mais qui ne veulent surtout pas que la France quittes l’UE, alors que l ’UE ce n’est que cela, et rien d’autre que cela : La destruction des nations et des peuples d’Europe.

       
  • #3551315
    Le 30 juillet à 17:16 par er
    Ursula, l’agent des Américains

    Et comme d’ hab d ici que ça déroule, 1 seule perdante= la France qui comme un boulet va foutre l’ Europe entière dans la merde.

     

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  • #3551326
    Le 31 juillet à 04:34 par Guerre des égos
    Ursula, l’agent des Américains

    Trump utilise le divisé pour mieux régné aux globalistes, une période magnifique …

     

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  • #3551362
    Le 31 juillet à 20:30 par Roger
    Ursula, l’agent des Américains

    Chez feu Ardisson, il y a quelques années, l’escroc patenté des richissimes ricains, j’ai nommé Christophe (porteur du Christ) Rocanquourt répondait à une question de l’homme en noir (avec un gros cul). Comment expliquez vous que des milliardaires soient tombés dans votre arnaque ?
    Réponse avec le sourire de Rocancourt :"Quelqu’un qui est foncièrement honnête, on ne peut pas lui prendre de l’argent !"
    Ist alles klar frau Van Der Layen ?

     

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  • #3551449
    Le 1er août à 13:20 par Figaro68
    Ursula, l’agent des Américains

    L’UE était vérolée dès le départ.

    Les bras m’en tombent ! Ben oui, qui a redécouvert ce truisme ?
    Tout le monde (hum) sait que la CEE a été le projet du Nazi Walter Hallstein inspiré par Hitler "das Grosseuropa" pour contrôler l’Europe de l’Ouest de son bureau de Germania.

    C’est la CIA qui a ramené Hallstein aux USA dans l’opération Paper Clip et a recyclé son projet. Hallstein a été le premier Président de la Commission et se voyait déjà à la place d’Hitler... De Gaulle a été obligé de le recadrer...

    Tous les Présidents suivants ont été des marionnettes des USA. Incompétents, stupides, sans charisme. Leyen est en plus une kleptomane de milliards invétérée !

    Les Commissaires sont des crétins improbables comme Séjourné, Breton ou Kallas ! C’est le profil idéal pour saboter notre avenir et nous plonger dans la misère.

    Notre appartenance à ce gang mafieux nous coûte 15 milliards par an pour se faire torturer et battre comme du plâtre. La France en donne 25 et Bruxelles en rend, sous conditions : 10). En 2026 ce sera 31 milliards !

    Enfin, les écailles commencent à tomber chez nos concitoyens qui ont compris l’arnaque !

    Reste à savoir combien Leyen va toucher de retro-commissions sur le deal du siècle, pour elle...

     

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  • #3551470
    Le 1er août à 16:28 par FREDERIQUE
    Ursula, l’agent des Américains

    La hyène - comme toutes les hyènes ! - se nourrit de cadavres...
    Redevenons vivants : FREXIT !!

     

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  • #3551551
    Le 2 août à 12:07 par Koussikoussa
    Ursula, l’agent des Américains

    L’Union européenne vient de signer un accord qui n’est rien d’autre qu’une reddition fiscale. Quinze pour cent  : tel est le tribut que Washington impose aux exportations européennes sous couvert de rééquilibrer les échanges. L’affaire est présentée comme un compromis honorable, presque une victoire diplomatique, mais il n’y a dans ce pourcentage qu’une démonstration de hiérarchie. La Suisse, elle, est taxée à quarante pour cent, pour avoir acheté des F‑35 qu’elle ne recevra probablement jamais. Le message est limpide  : celui qui se croit client privilégié des États-Unis paie plus cher encore pour avoir cru à l’illusion de la loyauté.

    La France, quant à elle, persiste à croire qu’elle est un allié stratégique. Elle se berce de souvenirs, d’images de débarquements et de présidences qui se serrent la main sous les drapeaux étoilés. Mais dans l’esprit américain, elle n’est rien d’autre qu’un acheteur captif. Quinze pour cent, ce n’est pas une taxe  : c’est le prix de la docilité. C’est la signature d’une dépendance assumée. Celui qui accepte cette dîme reconnaît qu’il n’a ni levier, ni alternative, ni volonté de confrontation.

    Les patriotes européens, pour la plupart, se félicitent ou fulminent avec la même naïveté. Ceux qui défendent cet accord se réfugient derrière l’argument de la «  stabilité  » et de la «  pragmatie  ». Ceux qui le dénoncent agitent des drapeaux, promettent des sursauts nationaux, et ne voient pas qu’ils participent de la même servitude mentale. Dans les deux camps, le cerveau est déviant  : l’un croit que la soumission garantit la prospérité, l’autre s’imagine qu’un cri de souveraineté suffit à exister. Ni l’un ni l’autre ne voit la mécanique implacable de l’empire, qui se nourrit de leur agitation pour mieux consolider sa position.

    Cet accord n’est pas seulement mauvais  : il est humiliant. Il démontre que l’Europe n’est plus qu’un marché à traire, un ensemble de provinces riches mais incapables de se défendre ou de se structurer. La France, en particulier, s’expose nue, persuadée qu’elle reste proche de son «  allié  » alors qu’elle a depuis longtemps perdu toute capacité d’influence réelle. Washington n’a pas besoin de trahir  : il suffit d’attendre que Paris signe, paie et se félicite. Quinze pour cent pour l’Europe, quarante pour cent pour la Suisse, et zéro respect pour ceux qui croient encore aux alliances.

     

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  • #3551607
    Le 2 août à 22:12 par Winged
    Ursula, l’agent des Américains

    Et on dit merci qui ? Merci François ! Merci Mitterrand l’Américain ! Merci le Vieux Morveux qui est passé de la collaboration avec les nazis à la collaboration atlantiste ! Merci Mairde 68 ! Merci 1981 ! Merci le Traité de Maastricht ! Merci, merci, François Mitterrand !

     

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