À quoi sert-elle, cette Union Européenne ?
Elle ne protège pas. Elle ne construit rien. Elle prélève, impose, désosse. L’Union européenne est un organisme sans chair, sans peuple, sans âme. Elle n’a ni racines ni horizon. Elle ne promet rien que la soumission.
On dit qu’elle garantit la paix. Mais les peuples ne se haïssaient plus depuis longtemps. On dit qu’elle assure la prospérité. Mais les travailleurs s’appauvrissent. On dit qu’elle unit. Mais elle divise, elle hiérarchise, elle brise. Elle n’est ni Europe, ni union. C’est un système comptable, un empire bureaucratique, une prison de verre.
Elle ne sert qu’à une chose : voler. Voler le fruit du travail, l’initiative, la souveraineté. Chaque année, des milliards s’envolent de la poche du contribuable français vers des structures opaques qui redistribuent selon leur bon vouloir — financement d’ONG hostiles, subventions à des États dociles, enveloppes pour l’« inclusion ». Et tout cela sous les applaudissements de la République française, devenue servante de ses maîtres invisibles. Les banques privées.
On n’élit pas les commissaires. On ne décide pas des traités. On ne choisit pas les directives. On les subit. La loi ne vient plus du peuple, elle tombe d’en haut, traduite d’une langue étrangère — celle de l’Usure. Tout s’achète, tout se vend, même l’âme des nations.
Et pendant ce temps, Mouloud et Nicolas se lèvent à l’aube, bossent dur, ferment leur gueule. Ils payent. Ils trinquent. Et lorsqu’ils osent se plaindre, on les traite de populistes, de ringards, d’extrémistes. Mais qui sont les extrémistes, sinon ceux qui ont détruit la souveraineté, ruiné les campagnes, ouvert les frontières, imposé une monnaie sans frein ni abri ?
On ne réforme pas une structure née pour soumettre. On s’en défait. On la rejette comme une mue morte. Car elle ne tombera pas d’elle-même. Ce n’est pas une météoroïde. C’est une nécrose lente, méthodique, légalisée. Et tant qu’elle restera debout, les peuples seront à genoux.
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