Pourquoi ne pas avoir laissé les soviets se mettre en place à la sauce afghane plutôt que d’organiser le chaos en armant des seigneurs récalcitrants ?
Maintenant on se rend compte qu’il faut immigrer les quelques collaborateurs et leurs familles.
L’Etat afghan peut très bien les prendre en charge jusqu’à leur protection dans les quartiers ultra-protégés dont bénéficient les gouvernementaux.
S’il doit y avoir vengeances et représailles, elles n’auront aucune difficulté à s’assouvir et s’exercer sur le sol français avec les mouvements de population incontrôlés dont il est le terrain insurveillé.
Ca suffit de dépenser donc de s’endetter pour des politiques étrangères dont nous ne retirons rien d’autre que d’enrichir des spéculateurs.
Ca suffit de prendre en charge les anciens combattants et collaborateurs des conflits passés.
La France était plus vaste à une époque.
Des combattants qui faisaient partie de son empire sont venus en Europe faire la guerre.
Leurs territoires ont fait sécession pour devenir des pays.
Alors que ces pays assurent leurs indemnisations et leurs pensions, et s’ils refusent, c’est un problème de politique intérieure, que les intéressés s’expriment lors des élections de ces démocraties, et s’ils n’obtiennent pas gain de cause, qu’ils manifestent ou lobbyisent auprès de leurs gouvernements.
On aura traité les Harkis comme des moins que rien, on les aura trahis alors que eux avaient eu un vrai engagement auprès de la France. Eux, on aurait dû et on devrait les soutenir. Pas leurs descendants, ça suffit, ils sont des nôtres, mais ceux qui se sont engagés dans un combat qu’ils savaient leur.
Des combattants français se sont battus pour réincorporer les territoires d’Afrique du Nord à la France telle qu’elle a été après-guerre, disons libérer.
Va-t-on maintenant réclamer pour eux des pensions à l’Algérie ? Au prétexte que ces combats ont contribué à la chute des totalitarismes Européens de l’époque, que ce territoire qui est maintenant l’Algérie serait aujourd’hui soit française soit sous la tutelle d’un Reich puissant et intransigeant, qu’elle serait repeuplée d’une majorité d’Européens, comme toute la Méditerranée, dans une tolérance germanique de l’Islam grâce à son apport massif dans les massacres des fronts de l’Oural et de l’Afrique subsaharienne.