Danielle, la tapineuse prétendument révolutionnaire, n’a jamais rechigné à donner des coups bas. Tôt ou tard elle devait finir par arborer le signe de sa nature profonde.
Les T-shirts sous la veste au parlement européen n’empêchèrent donc pas le bac de se retourner sur le cochon. Que le verrat continue de conspuer un Georges si ça lui chante. Il nous en reste un autre. Un anarchiste. Un vrai, pas une pleureuse de magazines soi-disant « féminins ».