Pour revenir sur le rôle des sayanim évoqués ici dans quelques posts, parlons de leurs ancêtres : les facteurs (mauvaise traduction) et sur le système de corruption généralisé contre les autorités officielles de Pologne et de Russie les 2 siècles précédents.

Les facteurs sont des agents du Kahal (organisation étatique juive se substituant aux autorités officielles du pays d’accueil). Ils sont chargés : d’espionner la Justice, la Police, de surveiller les juifs des shtetls (ghettos), de la corruption en général.

Dans chaque localité où existe une population juive, existe une fourmilière de facteurs, lâchés comme une meute sur la piste de toutes les affaires.

Tous ces facteurs sont aux aguets pour s’interposer dans chaque négociation avec un double but : leur intérêt privé, et celui de leur communauté. On trouve des faux-misérables qui vous observent pour obtenir une commission à la porte d’un restaurant, mais aussi des spécialistes en corruption des employés de police, de l’administration, des magistrats ...

Chaque facteur doit noter impérativement par quels moyens il est parvenu à corrompre les employés administratifs. Toutes ces notices soigneusement recueillies doivent être déposées au Kahal ; celui-ci dispose donc de moyens d’action terribles sur l’employé corrompu au cas où celui-ci tenterait une action contre les Juifs en général ou en particulier.

Ce système de corruption par l’argent des fonctionnaires spécialement préposés à l’exécution des lois du pays est davantage une coutume qu’une prescription talmudique. De grands miracles se sont opérés et s’opèrent journellement par la puissance irrésistible de ce talisman, vaste réseau tendu sur tout un pays par des mains habiles. Grâce à ce talisman les Juifs sont arrivés à frapper d’inertie toutes les mesures imaginées par l’autorité civile et administrative. Dans un très court espace de temps, les Juifs sont ainsi parvenus à s’emparer de tous les capitaux, et à acquérir une influence décisive sur toutes les activités des pays où ils se sont casés.
Le Kahal ne risque jamais rien : en supposant qu’un Juif tombe sous le coup de la justice du pays, le Kahal, lancera à son secours une meute de facteurs, armés de faux témoins, qui peuvent, de par les lois juives, se parjurer devant les tribunaux Goy. Que peut un Chrétien isolé dans cette guerre à outrance que lui déclare toute une population juive aux ordres du Kahal... sinon succomber ?


Kalixt de Volski.