" Soral est poursuivi pour incitation à la haine raciale " : cela veut dire que ses propos tombent sous le coup de la loi Pleven de 1972 ; or cette loi n’aurait jamais été votée par une Assemblée élue à la Proportionnelle, elle a été votée par une Assemblée élue au scrutin majoritaire, qui truque complètement les résultats . Cette loi a été votée par une Assemblée qui ne représente pas le peuple Français, mais qui représente le peuple d’Israel, pas seulement celui de France, mais les 15 millions d’Israéliens, sinon de nationalité, du moins de coeur, d’intéret, de Famille . Cette loi est donc ILLEGITIME, comme du reste toutes les lois votées depuis 1958, depuis que l’Israélien Michel Debré a substitué à la Proportionnelle le scrutin majoritaire : il a fait dérailler la France pour que les Israéliens puissent la piller, comme c’est probablement un " Israélien " qui a fait dérailler le train à Brétigny, car comment expliquer autrement qu’aucune enquète n’ai été diligentée par Valls pour rechercher le coupable du forfait ? Cette loi de 1972 est une loi scélérate, elle permet aux Israéliens d’insulter les goyes en toute impunité, " goy " n’étant pas une " race " . Par contre un goye traitant un Juif de " sale juif " peut se retrouver en correctionnelle : les Juifs ont exulté quand ils ont appris que la loi avait été votée ! Le tribunal devant lequel devra se présenter Soral est un Tribunal ISRAELIEN, car il va condamner un indigène Français au nom d’une loi Israélienne : " c’est nous les bicots " comme disait LF Céline, nous sommes jugés par un tribunal Israélien comme les Algériens étaient jugés par un tribunal qui leur était étranger, un tribunal Français . On va lui dire qu’il est condamné par la loi de 1881 " modifiée " par l’ajout de la loi de 1972 et de 1990, la fameuse loi Fabius - Gayssot : la vénérable loi de 1881 a été forcée d’accepter de cohabiter avec les deux lois scélérates, comme une honnète femme qui serait forcée de cohabiter avec deux putains israéliennes .