C’est extrêmement choquant. Le reportage-documentaire, l’affaire, l’impunité organisée, les meurtres pour assurer la quiétude des petites et grandes notabilités provinciales et celle des vedettes régionales...
Que dire de l’infinie bassesse de cette fange ? Il y a une lâcheté abyssale à s’en prendre à des filles de la DASS !

Comment se représenter la morgue, la luxure, la perversité, de l’amoralité revendiquée et de la collusion de cette bande de Pervers assumés, qu’ils appartiennent à la piétaille des basses œuvres ou qu’ils appartiennent à la pseudo élite locale, comme l’infâme Bourguignon de l’administration judiciaire ou les sbires de police, de gendarmerie ou de préfecture ou de mairies, tout à la courbette devant le personnel politico-national (Soisson quelqu’un s’est-il jamais intéressé à ce qu’il est devenu celui-là)... De quel droit ont-ils fait obstacle à leur mission en l’occurrence au soutien ou à l’action de la justice ? Et Bourguignon et Soisson, quand donc répondront-ils de leur forfaiture ? De la trahison du service de la justice et du mandat électif que cela suppose....

J’éprouve un tel dégout, vraie nausée, une telle colère froide, irrémissible, une telle répulsion pour les faits dans ces affaires répugnantes, qu’il me semble bien que je sais .... En fait je ne sais pas. Les déclarations fictives sur des situations fictives ne veulent rien dire. N’apportent rien. Mais ô souverain : prendre garde à toi. Car le monopole de la Justice entre tes mains ne vaut que pour autant que tu assumes ta mission et fais usage de ta délégation, un usage conforme à ta mission de concorde sociale. Or le crime est un scandale. Et pas le premier. L’impunité aussi. L’impunité surtout. La morgue de même. Ils causent à l’Ordre social un scandale (= tort) plus retentissant, plus profond et plus durable que la vision "scandaleuse" (déstabilisante) du Notable déchu....

Une délégation donc, mais une délégation sous condition.

C’était le cas dans les temps de royauté où le monopole régalien a été imposé par le Roi. Idem en République, démocratique ou pas : dès lors que le prétendu souverain n’assume pas de justice sur son territoire, les sujets sont fondés à s’émanciper... et de la tutelle et du monopole qui les malmènent et les ignorent sans souci des accords passés, tacites ou express (lois et décrets).

Dans la République démocratique du Congo hollandais, le Roi est nu. Mais la fosse au purin de la carence a été creusée depuis des décennies...