Emmanuel Ratier reçoit Hervé Juvin
29 novembre 2013 13:12, par Pronse
Oui comme quoi dans beaucoup de baratin une fine attention peut davantage remarquer le ton tricotant, rompu aux audiences managériales, qui, comme un couperet lance un "taisez-vous" virtuel à l’interlocuteur. Car le ton est aussi le dire. On retiendra aussi bien sûr le "génocide inaugural". Mais enfin pour résumer l’irrédentisme de l’erreur, qu’elle soit ancienne ou plus récente, ce que Waleza disait reste toujours valable : "il est plus facile de faire de la soupe de poisson à partir d’un aquarium que l’inverse". Et puis, parler des différences provinciales sous l’ancien régime sans évoquer le Sacre de Reims, où le Roi de France devient l’archidiacre et la clé de voûte de l’unité de ses sujets devant Dieu, quelles que soient leurs provinces, a des relents anachroniques. Une fois cette clé de voûte à la poubelle, monarchique ou impériale, c’est la tonte, dans sa splendeur jacobine ou capitaliste néo libérale. Arrêtez de déblatérer et rendez-nous un vrai monarque, roi ou empereur oint du Seigneur, qu’on se repose de toute cette mélasse. Ainsi l’unité se construit sur la fidélité à un homme et à Dieu, qui respecte l’identité de chacun, au lieu de la menacer en imposant la fidélité nivelante envers un système.