Maçonnoscopie, épisode 2 : la face cachée de l’Université
7 décembre 2013 08:16, par Océania
L’orgueil, c’est [donc] la joie qui provient de ce que l’homme pense de soi plus de bien qu’il ne faut. Maintenant la joie qui provient de ce que l’homme pense d’autrui plus de bien qu’il ne faut c’est l’estime ; et celle enfin qui provient de ce que l’homme pense d’autrui moins de bien qu’il ne faut, c’est le mépris.
SPINOZA éthique.
Orgueil et mépris tels que définis par SPINOZA collent certainement parfaitement à la médiocrité de cette fausse élite universitaire post soixante huitarde. Ils surestiment leurs capacités à détruire chez l’homme ce pont originel avec Dieu.
Ce vain espoir leur vient en effet de la certitude que le pont est extérieur, puisqu’ ils ont fini par l’annihiler en eux.
L’estime de soi et de son entourage est une pierre à l’édifice du bien être. Elle a avoir avec ce pont vers Dieu dont la charpente repose sur la common decency. Réciproque elle produit les amitiés durables. L’estime se nourrit d’échanges qui contentent le cœur et l’esprit. Une phrase, un geste, un comportement peuvent l’initier. C’est le cas chez ce monsieur Dortiguier tellement simple et vrai. Afin de faire perdurer l’estime, il est sans doute nécessaire de déjouer les pièges de l’orgueil, du mépris et de toutes sortes d’illusions propres à notre époque qui vampirisent tous les milieux où l’ on vend du savoir.
Dieu s’est montré équitable envers nous, le garder à l’esprit nous permet de désamorcer les plans machiavéliques des diablotins en tout genre et de rester, humblement, droit dans ses bottes. Sinon elles finissent pas manquer.
Toujours cordialement