Ce qui séduit les mondialistes apatrides chez Charlemagne, ce n’est pas le père "fondateur de l’Europe" mais le système de gouvernement central personnel, celui des assemblées politiques et religieuses soumises, celui d’une administration locale étroitement surveillée, celui d’une hiérarchie des pouvoirs basée sur la propriété foncière et sur les liens personnels de "l’hommage" et au sommet de laquelle se trouvent les compagnons (les comtes) du roi et des évêques (source Petit Robert 2). Bien entendu, les compagnons sont franc-maçons, les comtes du temps de Charlemagne sont devenus les oligarques du XXIeme siècle, le roi est remplacé par le concept de droits de l’homme et les évêques ont été remplacés par un autre concept qui est Vatican 2. Le Petit Robert 2 ne reconnait pas Charlemagne comme étant un fondateur de l’Europe et l’Europe du XXIeme siècle n’est pas l’Europe qu’elle prétend être. Rappellons que Charlemagne aimait la France, ses traditions et son peuple et soulignons que l’Union Européenne est un projet anglo-saxon chapeauté par Israël qui hait le populisme, le nationalisme, le souverainisme et le traditionnalisme. Les pires ennemis de Charlemagne se récompensent en s’attribuant un mérite à leurs activités criminelles contre les peuples d’Europe, ils sont fiers de la machine à écraser les civilisations européennes qu’ils nomment modestement Union Européenne mais qui dés 1912 avait des allures d’Etats-Unis d’Europe.
Ce qui frappe le plus, c’est le cynisme du système mondialiste oligarchique criminogène.