Rappel : Alain Soral sur la société de censure intégrale
12 janvier 2014 00:27, par LaurenceOui, interdictions et interférences interrelationnelles sont si présentes qu’il semble impossible, socialement, de se mouvoir dans des champs de liberté, en dehors d’une attitude rusée et organisée.
Mais Spartacus, même s’il le voulait, ne pourrait pas être Pinocchio. Et, Spartacus, dans la Saison 2-Episode X, reste à écrire ! Pourquoi pas sur le thème de la ruse peu glorieuse qui devient lumineuse. Faut voir ça avec Dieudonné !
Dans l’ici et maintenant de la violence, voire de la terreur, et de la souffrance, Sparta croît en une vaste orchestration qui harmonise... Jusqu’à l’instant suivant différent : apaisant et serein ; là où il ne reste rien de ce qui a précédé. Et, si croître n’est qu’une croyance, qu’importe puisque Sparta agit comme si le processus était le résultat et non pas un mécanisme qui mène à une conclusion.
Et, cela fait de lui une conscience du présent, dés-identifiée du rôle qui dit le définir, se percevant parfait en tant que mouvement qui participe à l’harmonisation de l’ensemble.
Et, violence et souffrance, passé l’instant de la violence et de la souffrance : il n’en reste rien !
C’est pour cela que ce qu’il se donne, il le donne à l’ensemble et ce qu’il ne se donne pas, il le retirait à tous... Le Sparta a beaucoup donné par le fait de beaucoup s’exposer au danger et à la non-reconnaissance positive, qui invite à la déception.
Pourtant, ceux dont le goût est d’asservir et d’aliéner, de plus en plus, se privent de liberté et sont fauchés par la peur qu’ils ont depuis si longtemps distillée chez les autres.
Il y a toujours un Spartacus pour se réveiller avant d’autres ou veilleur insomniaque, il n’a jamais véritablement trouvé le sommeil.
En arrière plan, des légions d’égalité et de réconciliation encore un peu somnolentes, baillent, s’étirent et se réveillent tout à fait. Maintenant, les Sparta peuvent songer à se reposer un peu. Dans le silence intérieur ils se ressourcent. A cet endroit les Gentils se rejoignent. Reliés, ils regardent que l’heure n’est plus à la répétition du déjà vécu et portent leur attention sur la fréquence de la transformation de tout ce qui les constitue et les environne.
Un noir marron, illustré à la une d’une feuille de chou, par du mou à la place du cerveau, a dit hier : "J’aime cette vie qui m’a été offerte". Whaou... Faut qui fasse Théosophie le mec ! Mais qui ne se ressourcerait pas de l’entendre !