La Belgique autorise l’euthanasie pour les mineurs
16 février 2014 05:27, par MagnaVeritasJ’ai oublié de le faire dans mon premier commentaire mais il faudrait quand même relever une chose de première importance :
Les enfants ne sont pas considérés juridiquement comme des personnes (alors que les entreprises oui, du moins dans le droit français et dans le droit suisse, je crois ; je ne sais pas pour le droit belge). Ce qui signifierait que la prise de décision ne leur reviendrait pas ! ce sera la décision des parents ou bien la décision du tuteur (ou, suivant le cas, celle de l’orphelinat, je ne sais pas comment ça se passe), ou encore peut-être celle du médecin.
ça veut dire que suivant son entourage, l’enfant n’aura plus le droit à la vie. C’est ce que j’ai dit dans mon autre message : extension de l’avortement. Confier le droit de vie ou de mort d’un enfant à son entourage.
Ou alors, si l’enfant a quand même son mot à dire, ils feront tout pour le persuader de choisir la mort. Les enfants sont manipulables, c’est une donnée avec laquelle il faut composer.
Vu que l’europe est en récession (et qu’elle ne pourra pas éternellement emprunter non non plus), on peut se demander si ce n’est pas une mesure du Système pour légitimer la future absence d’aide sociale. Au lieu de s’occuper des orphelins et des handicapés, ils pourront les tuer. ça coûtera moins cher (mais ça empêchera le directeurs de l’orphelinat et les collaborateurs de s’enrichir, alors ce je dis est à prendre avec des pincettes même si c’est une piste possible de compréhension).
Quoiqu’il en soit, reprendre le contrôle des services sociaux et les expurger de leurs éducateurs pédocriminels (source : bouquin sur Outreau chez KK + innombrables témoignages sur le net) et autres croque-mitaines qui prospèrent sur la misère est une nécessité.
Pour corroborer ce que dit Marie, je peux affirmer avec certitude qu’on connait des analgésiques très puissants. Même depuis l’antiquité si ce n’est pas avant on connaissait déjà le pavot (opium, morphine), alors vous imaginez bien ce que l’industrie est capable de produire maintenant comme substance de shoot. Ainsi, effectivement, leur histoire de douleur, c’est du pipeau pour faire chialer dans les chaumières et nous faire accepter cette infamie, avec en plus un vernis thérapeutique.
Dans tous les cas, ce genre d’initiatives ne peut qu’émaner d’esprits dérangés.