Bonjour Madame Sigaut,

Merci à vous pour tout ce que vous nous apportez. Vos livres et entrevues sont une bénédiction pour les gens comme moi, passionné par l’histoire de France.

Personnellement, c’est par la généalogie que j’ai commencé à m’intéresser à l’histoire de "nos ancêtres paysans". Mettre des noms sur des ancêtres, c’est bien, mais c’est encore mieux d’apprendre comment ils vivaient, dans quel contexte, quels étaient ces anciens métiers étranges qui ont aujourd’hui disparu, le fonctionnement des corporations, les anecdotes de villages transmises par les curés dans les registres paroissiaux, etc.

Je ne cesserai de le dire ici, une des meilleures façons pour s’intéresser à l’histoire, c’est pas la généalogie. C’est d’autant plus accessible depuis que la plupart des départements français ont numérisé l’état-civil : il suffit de chercher "archives départementales en ligne [département]" pour tomber dessus.