L’Inde renforce ses liens avec Moscou
26 mai 2014 11:32, par Jasmin Indien"Après tout, le BJP est un parti laïque de nationalistes hindous"
Narendra Modi n’est pas un laïc c’est un hindou traditionnel modéré.
"Modi fut ministre en chef de l’État du Gujarat, où des pogroms de musulmans ont éclaté il y a 12 ans et près de mille personnes avaient été tuées dans ces affrontements."
Il a eu affaire aux pires des musulmans bornés et manipulés. Le Gujarat est un état charnière et ne se gouverne pas comme l’inde. Le nombre de morts hindous se comptent en centaines de milliers au Pakistan et Bangladesh.
"Barack Obama l’a invité à se rendre en visite aux États-Unis. "Washington tente de se racheter après avoir refusé à Modi un visa américain"
Modi s’en souviendra. Mais ce n’est pas aux états-unis qu’il trouvera la croissance. Il doit s’occuper de la diaspora indienne qui rapporte des devises au pays.
"Modi souhaitait augmenter les échanges commerciaux avec la Russie pour passer de 11 milliards de dollars aujourd’hui à 40 milliards de dollars. Pour l’instant, les chances d’une telle évolution sont faibles."
C’est faux, n’importe quel secteur peut profiter de ces échanges, industriel, aéronautique, militaire, naval, technologique, etc etc.
Le problème de l’Inde et de Modi ne sont pas les musulmans. il peut le devenir si Washington lâche ses mercenaires en cas de refus de coopération économique de Delhi. Le cachemire pourrait être un point de compromis. Les milices syriennes et trucs pourraient venir prturber aux frontières. Les musulmans sont une minorité et ce sont des pauvres. Ce n’est pas la faute de l’Hindouisme ni de l’administration. L’Inde doit faire face à un intégrisme musulman qui a plus à voir avec un réseau mafieux ou le religieux sert de prétexte, guidé par le pouvoir pakistanais (généraux et madrasas). Le musulman indien est instrumentalisé par cette propagande mais en général il est nationaliste et vit bien avec ses frères indiens.
Le souci de l’Inde est dans ses possibilités de croissance, le paiement de la dette, l’éradication de la corruption, le redressement du secteur agricole, les mesures environnementales, la pollution et l’urbanisation sauvage, l’érosion des valeurs par le libéralisme et la gestion de la future crise mondiale qui s’annonce. N le Modi ne pourra pas tout résoudre : il est submergé par l’ampleur des taches ; l’inertie et le temps jouent contre lui.