..... sauf qu’apparemment les migrants venant se réfugier en Europe ont, paraît-il, de l’argent, des cartes bancaires, et sont acheminés vers l’Europe par des associations dites « humanitaires » lesquelles les ravitaillent en cours de route avec fournitures de tentes ! Ne s’agit-il pas d’un plan concerté ? En fait, les « migrants » ne sont pas abandonnés à leur sort, puisqu’une aide « humanitaire » vient leur donner les moyens de parvenir au seuil de nos frontières relativement en bonne santé !
Sachez Syriens d’Alep, que le peuple français et sa population étrangère présente sur son territoire n’ont plus d’État, ni de souveraineté. La propagande médiatique parle pour lui. Ses votes ne sont plus représentatifs. Le peuple français n’a fait que subir des trahisons en cascade ! Ce ne sont que vitupérations entre partis, familles et clans politiques, divisions internes, personnalisations outrancières du débat et mise au pas des Chambres parlementaires. Et pour l’ensemble des citoyens, un fichage systématique par une loi « martiale » sur le Renseignement. Voilà, la situation actuelle de notre pays France, chers Syriens d’Alep !
Il est donc vain d’appeler la France « officielle » pour lui demander son avis désormais car aucun homme d’Etat ou parti fort, sain et honnête ne la représente actuellement pour transmettre la voix réelle d’une France cohérente !
Seules quelques voix dissidentes malmenées représentent une minorité de Français ayant conservé le sens de l’honneur, de la dignité et du respect envers eux-même et autrui. La majorité est sidérée, anesthésiée, lasse, divisée et a probablement baissé les bras car dans l’ignorance des enjeux.
N’est-ce pas leur but cette guerre psychologique d’usure.
Les prises de consciences sont lentes, laborieuses. On prêche dans le désert avec le risque de se faire des ennemis dans sa propre famille, proches, collègues.
Lorsque notre pays, la France, en sera au même niveau que vous, la Syrie, nous approchons de la case “Grèce”, les réveils seront douloureux.
Chacun fait ce qu’il peut, là où il est, en fonction de son niveau d’intelligence, de sa disponibilité, de sa prise de conscience.