La propriété intellectuelle, c’est du vol !

En vendant des livres tombés dans le domaine public et accessibles à tous d’un simple clic, l’existence économique de KK le démontre amplement. Le travail d’un éditeur n’est pas de s’approprier le travail de l’auteur, mais de le diffuser.

Quand au travail de Google sur la numérisation de la connaissance humaine, ils l’ont déjà fait avec le web, n’en déplaise aux auteurs, ils le feront et malgré tout le côté diabolique de cette société, c’est une bonne chose. Loin de dépouiller les auteurs de leur oeuvres, ils vont en dépouiller les éditeurs de leur propriété exclusive et en donner accès à la population entière.

Car n’oublions pas que 99% de la production littéraire est dans le domaine public et que le 1% restant est globalement très médiocre.