Soixante millions c’est peu ! Trop peu,d’ailleurs en comptant les retards et les grèves, prenant l’usager en otage ça devrait être soixante milliards ! Merde ! Quand même ! Et en plus les wagons étaient sans banquettes. Mais bon bon vu que les Allemands étaient (sont) mieux organisés que les français, les douches étaient prévues à l’arrivée... Soixante millions de billets pour avoir la paix : maintenant il faut croire en la parole de la communauté organisée et des américains. J’ai un doute : la dette de la France est éternelle, je rappelle, aussi bien envers la communauté qui à tant souffert par notre faute, que de l’Oncle Sam qui nous a si gentiment sauvés de manière tout à fait désintéréssée.