Comme ça doit être sympa le Monopoly à ces altitudes.

En échange de la future ligne éditoriale on te "prête" de quoi racheter un groupe de presse. Tu restructures, tu vires du monde, si possible les anciens (que les gros salaires lèvent le doigt !) ou les moins manipulables. Tu vends ce qui peut renflouer tes caisses (matériel, archives, immobilier), tu loues quelques bureaux dans le 93 pour y mettre les rescapés et tu embauches des Kevin Poireault sortis de Sciences-Po ou des nègres élevés en batterie au CFJ (payés au nombre de caractères).

Puis tu fais rouler tout ça tranquillou avec l’argent du contribuable (aides à la presse et la pluralité de mon Q) en empochant (niquant en djeunz) les bénefs. Ensuite tu recommences avec un autre groupe. Elle est pas belle la vie ?