A la lecture de nombre de commentaires il apparaît que le principal argument des tenants de la version officielle est dans la différence d’énergie cinétique entre les 2 appareils ( emportés par leur enthousiasme , ils multiplient par 2 la masse des appareils qui auraient percuté les tours un et deux .et surestiment lourdement la vitesse possible d’impact ......et gênés aux entournures ils n’évoquent nullement celle de l’appareil fantôme qui a percuté et dégommé la tour 7 ) .
Sauf que l’on sait que ce n’est pas l’impact qui est retenu par la version officielle comme cause de l’effondrement des tours ( s’il l’avait été , les tours se seraient effondrées de suite avec une forte composante latérale et nous savons tous que ce n’est pas le cas ) .
La version officielle dit que en raison de l’incendie et de la température atteinte par l’acier , celui-ci a cessé d’être porteur .
Or on sait que cette hypothèse ne peut se vérifier , car elle fait abstraction de plusieurs choses :
1- De l’invraissemblable surdimensionnement des poutres porteuses et de leur nombre ( 48 colonnes d’acier , articulées entre elles bien évidemment , protégées du feu par du béton et un isolant thermique . Une section de 1mètre 50 sur 50 cm composée de 3 lames d’acier de 13 cm d’épaisseur ) Les architectes du WTC , ont affirmé avoir tout fait pour que ces tours résistent à un crash d’avion de ligne .
2 - En plus de cette solidité à tout épreuve de nombreux spécialistes en feu ont dit que les feux des 2 tours en raison de la nature des fumées qui en étaient issues étaient très loin de rendre l’acier non porteur ( il faut 800degré et un feu de kérosène atteint 1000 degré au bout de 20 mn et à condition qu’on alimente le feu en kérosène sur le même point et régulièrement .
3 - Les tours s’abattent à la verticale comme lors d’une destruction contrôlée . Pour cela tout le monde sait que l’ensemble de la structure porteuse doit être fragilisée dans l’ensemble de sa composition de manière extrêmement étudiée , alors que tels que les évènements se sont passés , cette fragilisation (en admettant que les 2 points cités précédemment n’ont pu jouer leur rôle) n’a pu être que désordonnée et aléatoire .
Les concepteurs de cette destruction ont pris soin de limiter l’amplitude des dégats qui auraient été multipliés par 3 ou 4 (si ce’ n’est plus ) en cas de chute latérale . Les dégats obtenus étaient largement suffisants pour obtenir l’effet psychologique désiré .