La perspective d’accord espérée du côté de Bruxelles consisterait à exiger une sécurité d’approvisionnement en gaz de la part d’Alger et une aide pour lutter contre l’immigration qui touche le continent européen. En échange, l’UE s’engagerait à aider l’Algérie à diversifier son économie, à assurer un soutien financier et à investir massivement dans le pays.
On apprécie la sémantique européenne qui "consiste à exiger une sécurité" tout en espèrant une perspective d’accord sinon...
Bref les Algériens ont bien raison de traîner les pieds bien que cela ne les prémunissent pas d’une action qui les forcerait à accepter l’exigence en question sous peine d’un "printemps" sanglant qui arrivera de toute manière quelque soit leur choix.
L’Algérie, "as we know it" n’en a plus pour longtemps après une telle déclaration de guerre à peine camouflée. Préparons nous donc à recevoir des millions d’Algériens pour en finir avec la France.
Ce n’est pas que nous n’aimons pas les Algériens, nous avons appris en 50 ans à vivre avec mais nos cités étant remplis jusqu’à la gueule d’immigrés désormais tous légaux, ne devrons nous pas céder sans broncher nos appartements, pavillons de banlieue, puis nos maisons à la campagne ?.
On se demande donc à quoi va bien pouvoir servir tout ce pétrole si ce n’est qu’à alimenter en énergie le nouveau système de remplacement où les Français en seront à chercher des places pour se caser dans les terrains de camping puis à faire la queue devant les centres de détention (concentration) pour recevoir leur puce avant les tickets de rationnement.