Il ne se passe pas une semaine ou je ne croise pas un ou plusieurs abrutis bien blancs, que ce soit d’une administration, du voisinage, du travail ou bien dans la rue...
Tout cela pour dire que le concept de grand remplacement serait bien plus convainquant si une partie des "de souche" étaient un peu moins tordus et un peu plus aimables.
Bien sûr qu’il ne faut pas généraliser mais quand on commence à recenser les cons on nuance tout de suite la question génétique. Après certains préfèrent se rassurer en les rangeant dans des cases comme gauche, extrême droite, du "système", versaillais, bourgeois, raciste, bobo ou que sais-je... mais quoiqu’il en soi le problème demeure.
Mener la question raciale et identitaire jusqu’au bout en déportant tous les non-blancs ne fera pas baisser le pourcentage de sale types d’un pouce.
Donc stopper l’immigration pour des questions économiques pourquoi pas, mais idéaliser l’homme blanc faut quand même pas exagérer. Ceux qui en font une question politique centrale sont manifestement des "anciens" à côté de la plaque.
Et pour ceux qui s’emparent du sujet pour se fabriquer une virilité artificielle, Alain Soral a suffisamment dégonflé la baudruche en nous montrant ce qu’était le vrai courage aujourd’hui.
Le pays réel c’est les Gilets jaunes dans toutes ses composantes, pas les vieilles associations de commentateurs et autres cercles de discussion.