Cette affaire de sosie de Ligonnès surgit juste après l’attentat de la Préfecture, dans lequel un employé au renseignement de longue date, semi-handicapé et donné pour radicalisé musulman, aurait eu à sa disposition sur les agents secrets les informations les plus sensibles, mettant en danger la sécurité nationale.
Ce canular du sosie, vite rétracté, pourrait être une sorte d’avertissement, de type : nous les mystérieux contrôleurs officieux des services secrets, nous qui avons les noms et les adresses des agents, pouvons faire apparaître l’un ou l’autre à volonté. Xavier, par exemple.
La prochaine fois... Tremblez, braves gens.
C’est peut-être un message à Sarkozy.