Gestion de sortie de crise progressive de l’attentat . Les maléfiques prennent place pour démonter les contre-attaques de la dissidence avec les tactiques habituelles (désinformation, division, agitation, diversion, dénigrement) ). Ils poussent leur narratif, exécutent des manœuvres de diversion, approchent leurs adversaires pour les polluer par promiscuité. D. Raoult commence à faire l’objet de plaintes et enquête de la part de la ’’justice’’ de la domination. Son tort est de savoir gérer une épidémie, d’avoir soigné, guérit et bousillé en grande partie l’organisation de l’attentat de terrorisme sanitaire. En fait, tout va devenir une question de chiffre. L’attaque du Lancet s’est avérée malhonnête et donc, avec véran comme larbin, l’interdiction ministérielle du protocole Raoult s’avère être une mesure politique. Impardonnable, le Professeur Didier Raoult est l’homme à abattre. Ces péripéties permettront de jauger le pouvoir des maléfiques sur cet endroit qu’ils colonisent. La tête du serpent chassé des USA est arrivée ici. L’appareil d’état retarde tant qu’il le peut sa déclaration de sortie de crise, qui sera le signal de la réaction de la dissidence, avec les manifestations à prévoir, et la répression déjà organisée. La montée aux extrêmes est encore d’actualité car il ne s’est encore rien passé. Les conséquences sont tellement énormes qu’il est impossible qu’elles ne provoquent pas de crise socio-économique aiguë. Le Régime Pourri s’accroche aux manettes mais il a vraisemblablement déjà perdu la partie. Le remaniement ministériel va mettre en place une équipe pire que celle qui va céder la place et amplifier le malaise et la révolte. Les mois a venir vont être très mouvementés.