Quand mediapart, sur les toits, dénoncera la loi anti-révisionniste, cause de l’antisémitisme, alors, j’entamerai à considérer ce média partisan de la shoah et de son corollaire le sionisme décomplexé comme un média non-partisan de la shoah et de son corollaire le sionisme décomplexé.
Il faut savoir poser l’étalon de la vérité à l’idoine échelon afin de jauger une véridique dénonciation, de celle qui dénonce le mensonge, et non celle qui ne mange pas de pain.
L’État, le pouvoir, l’autorité, quel qu’ils soient, d’où qu’ils proviennent, quel que soient leur objectif, n’ont pas à confisquer l’histoire ne serait-ce qu’un atome, car l’histoire appartient à tout-un-chacun, dé lors qu’une partie de l’histoire se présente interdite d’être révisée, interdite d’être ré-visité, interdite d’être contextualisée (verbe à la mode), il y a, obligé, anguille sous roche.
Que cache cette interdiction, cette confiscation, cette zone interdite ?
Que cache-t-elle donc pour être affublée d’un défense d’entrée, prohibant dé lors toutes investigations.
Est-elle, cette partie de l’histoire, telle une propriété privée, alors que l’histoire, encore une fois, appartient à tout-un-chacun.
Il faudra un jour rendre des comptes.
Tôt ou tard.
Jésus se mit à dire à ses disciples : Avant tout, gardez-vous du levain des pharisiens, qui est l’hypocrisie. Il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu. C’est pourquoi tout ce que vous aurez dit dans les ténèbres sera entendu dans la lumière, et ce que vous aurez dit à l’oreille dans les chambres sera prêché sur les toits.
Livre de Luc, chapitre 12, verset 1, 2, 3.