Dans la vidéo qui commente “Paracuellos” de Carlos Gimenez, le commentateur ne dit pas l’essentiel : Parcuellos était un orphelinat, certes, mais construit à côté des fosses communes des parents de ces enfants et tout cela n’a rien à voir avec le franquisme.
Cet endroit est le lieu de massacres commis par les rouges contre des croyants catholiques, des bourgeois, des opposants au régime de terreur institué par le Front Populaire. On ne sait pas exactement combien sont enterrés là mais au moins 10.000 victimes du terrorisme rouge. Parfois c’était des familles entières à qui on volait tout avant de les faire disparaître.
Il y a en Espagne socialiste de nos jours une omertà à propos de Paracuellos et c’est la raison pour laquelle aucun éditeur ne peut pas se risquer à publier un ouvrage qui énonce ce nom maudit par la gauche assassine, voleuse, sadique et pilleuse de toutes les valeurs qui avaient fondé une nation pendant des siècles.
L’histoire de ce garçon est très touchante, mais ne dit pas l’essentiel : Les socialistes sont des massacreurs du peuple, des voleurs, des voyous sans foi ni loi.
Ils continuent leur travail de sape en alliance avec les terroristes de ETA et des séparatistes catalans. aucun répit jusqu’à ce que Soros dise stop, ce grand ami des socialistes espagnols.