La lettre envoyée en 2020 à Asselineau au nom de 18 membres du Bureau national de l’UPR (mais dans le dos de certains d’entre eux qui ne l’auraient pas acceptée en l’état...) pour lui demander de se mettre en retrait de l’UPR suite à ses frasques (lettre ayant rapidement et opportunément fuité dans la presse) était très mal foutue car elle mettait en avant et lui reprochait des faits de harcèlement sur deux employés de l’UPR (qui ont ensuite porté plainte contre lui), alors que cette lettre aurait dû mettre en avant le fait que Asselineau avait embauché à deux reprises des jeunes hommes sans aucune qualification et sans aucune justification autre que le fait qu’il avait envie d’avoir ces deux jeunes hommes près de lui.

Or si les accusations de harcèlement sexuel pouvaient être sujet à débat et demandaient à être prouvées (ce qui est toujours difficile et concernaient surtout les deux intéressés), le fait qu’Asselineau ait embauché ces deux jeunes hommes en court-circuitant le Bureau national et ce pour convenances personnelles (et avec l’argent du mouvement) était lui tout à fait factuel et indéniable...