Non au Carrefour City : la courageuse révolte des riches habitants du VIe
22 juillet 02:53, par Francois Desvignes
Ils comprennent trop tard qu’ils sont ruinés : ils ont mis tout leur héritage dans un immobilier qui ne vaudra plus rien :
Les enfants qu’ils n’ont pas faits ne pourront pas leur racheter leur bien au jour de leur retraite ou de leur succession.
La clientèle solvable étrangère n’investit pas son argent à Paris devenu Bamako.
Le village monde, la république universelle, la xénophilie pavlovienne ont donc un cout prelier, un cout intermédiaire et un cout final :
Le cout premier : la dégradation jusqu’à la perte des avances technologiques et des savoirs.
Le cout intermediaire : la dégradation jusqu’à la perte de la production de biens et services marchands.
Le cout final : la richesse de la nation est égale à la richesse du plus pauvre.