Il faut rendre à César ... et à Natacha ce qui revient à Natacha, 4 années d’enquête acharnée pour se voir exclue et récompensée à coups de bâton, c’est effectivement injuste.
A l’heure où tout n’est qu’hypothèse, spéculation et prospective, chacun y va de l’exploitation des incohérences d’une affaire volontairement entretenue par celle qui se pose en victime d’une rumeur qui flirte avec la diffamation.
Quand on sait qu’il pourrait être très facile de la désamorcer en humiliant dans le même temps ses auteurs et relayeurs de tous poils, il est permis de lui accorder tout crédit, jusqu’à preuve du contraire. On se demande à ce titre pourquoi le démenti imparable ( si il existe ) n’est pas apporté ?
Candace Owens s’en délecte de l’autre coté de l’Atlantique avec un public de plus en plus nombreux et toujours plus curieux à chaque nouvel épisode de cette série digne de Netflix.
Ses épisodes brillamment traduits en français par la séduisante évangéliste - pentecôtiste et non moins sioniste Marie Vindigni qui revendique sur son site un soutien quelque peu dérangeant à un Israel empêtré dans un génocide immonde.
La question qui se pose est de savoir si Brigitte et Jean Michel feront le voyage pour confondre l’audacieuse journaliste américaine ou si Manu entre temps, le doigt posé sur le bouton rouge de l’apocalypse nucléaire, jouera sa dernière carte pour échapper à l’opprobre d’un mensonge d’Etat sur le point d’être révélé au monde entier. ? A suivre ...