Deux théories sur l’étrange assassinat de Charlie Kirk
1er octobre 17:37, par ProtégeonslaPalestineEnfiiiin ! J’écrivais que la piste israélienne, initialement suggérée par monsieur Guyénot, n’était pas exclusive d’autres pistes du Deep state, et qu’il fallait se pencher sérieusement sur LA PISTE ERIKA. Ceci ne constitue nullement une accusation ad nominem ni une minoration du chagrin de son veuvage, mais une mise en perspective des faits, exigée par l’exercice critique de la raison :
Erika Kirk fut l’employée de Trump, de son organisation de miss. Leur lien est donc bien antérieur à sa rencontre NON fortuite avec ce pauvre Charlie.
M. Guyénot fait bien de souligner le pédigrée militaire du père de cette Erika kirk. Aussi me permets-je de compléter par celui du grand-père d’Erika kirk : Carl Kenneth Frantzve, né en 1922, fut anobli par le roi de Suède en raison de son rôle primordial dans la construction des relations Suède / États-Unis (comprendre intelligence militaire, services secrets, opérations spéciales). De 1977 à 1979, ce grand-père paternel d’Erika fut le Grand Chef de l’Ordre (comprendre le président de la loge maçonnique) viking. Mieux encore, Carl Frantzve fut vice-président de la Manufacture Américaine des billets de banque, imprimerie créée en 1795 (pendant les Lumières), censée rendre le dollar [in]falsifiable. J’oubliais : Papy suédois avait fait la guerre de Corée (1950-51) aux côtés des Yankees. Cet homme était un agent américano-suédois reconnu.
Les liens familiaux de la veuve Kirk av3c les arcanes profondes du pouvoir maçonnique international remontent au XVIIIème siècle. La mère d’Erika Kirk est une libanaise + syrienne, également bien connectée au Proche-Orient.
Hypothèse de travail vérifiable, mais à approfondir : Erika Frantzve n’est absolument pas la pieuse chrétienne qui allait réussir le défi de détourner son évangéliste de mari d’Israël, elle est précisément celle qui a été présentée à Charlie Kirk EN Israël, avec pour mission de devenir madame Kirk.
Suggestion d’analyse : Plutôt que de s’éparpiller sur les théories fumeuses de la "mort simulée", Monsieur Guyénot gagnerait à analyser le contenu du discours d’Erika Kirk : le pardon précipité accordé au tueur présumé sans aveux, l’absence de mention de la personnalité de l’homme alpha que fut Charlie Kirk, la gestuelle finale, laissent entrevoir que 1 ] une veuve alpha est née, 2] qu’une convergence de trahisons internes et externes ont rendu possible l’exécution d’un homme qui s’apprêtait à dénoncer le paradigme du judéo-christianisme auprès de la jeunesse.