C’est une fin digne du légendaire gentlemen cambrioleur, Arsène Chirac.
Atteindre le poste de premier fonctionnaire d’État, cette seule place qui permet toutes les prévarications possibles sans subir les remontrances d’un patron puisque le peuple s’en fout de la politique, sauf une fois tous les 5 ans (désormais), et quant au pouvoir Judiciaire il est infecté de soupeurs Francs-macs.
La peine est de l’esbroufe total.
Retiré de la vie politique avec un trésor à dépenser sans compter pour ses vieux jours, son clan étant remplacé par celui de Nabotléon et ses consorts américano-sioniste, que risque t-il alors ? Ne plus être maitre de son sphincter durant un passage télé ? Pfff ! Ça passerait inaperçu dans cette fosse septique.