La France est le seul pays où la nation ait en permanence son gouvernement contre soi, le seul où une guerre sinistre et grotesque ait été déclarée à Dieu, le seul où l’ordre ne subsiste que par survivance, sans être jamais soutenu ni fortifié, le seul où l’enseignement officiel n’ait pas d’autre tâche que de détruire obstinément tout ce qu’il devrait conserver, et dérobe à la nation la connaissance de sa propre grandeur. La République est le seul régime où rien de sublime, ni seulement d’honnête, n’est donné en aliment à un peuple dont l’âme est à jeun ; c’est le seul régime qui, pressé de tous côtés par les choses, ne parle jamais un langage qui leur réponde, le seul où les problèmes les plus importants ne puissent pas être résolus, ni même posés, parce que l’intérêt du parti régnant entretient partout des fictions qui séparent la nation du réel. » Abel Bonnard

Répondre à ce message

Espérons qu’un jour M. Escada, très courageux, soit invité chez Tocsin car j’en ai un peu marre des Vidal, Bercoff, Castelneau & Langlois ! Passons la deuxième !

Répondre à ce message

La république n’ aime pas les français et comme le dit très justement Escada n’ a eu de cesse de les assassiner.. pour les remplacer par des républicains venus de l’ étranger , des colons , des séparatistes , des parasites .
La république n’ aime pas les français..
il suffit de voir l’ entièreté de ses choix culturels et d’ aménagement du territoire s’ en convaincre .

Répondre à ce message

Une proposition de loi vise à punir par de lourdes amendes ou de l’emprisonnement le fait de critiquer la république.

La proposition de loi n° 1535, déposée le 10 juin 2025, visant à interdire et sanctionner les contenus et discours à caractère anti-républicain, a été portée par des députés des Républicains, notamment Laurent Wauquiez et Vincent Jeanbrun.

Une telle loi, actuellement à l’étude à l’Assemblée nationale via la Commission des lois, pourrait criminaliser toute pensée dissidente en assimilant toute critique à une atteinte à la République ; le manque de définition claire des termes pouvant mener à des interprétations abusives.

Répondre à ce message

Nous sommes arrivés au bout de ce système républicain dont l’incarnation caricaturale est la macronie. Le souci est que la pseudo gauche (dont ce faux centre incarné par la macronie) est devenue la plus grande défenseuse de ce système républicain : elle est la force réactionnaire qui bloque la France et l’envoie dans le mur. Elle ne fait que défendre la république et ses profiteurs. La république, c’est l’inertie sociale et donc l’inertie des peuples. A Paris, les différences sociales sont criantes entre les classes, les quartiers et les communautés. Dans les campagnes , des paysans survivent avec des revenus ridicules et croulent sous les dettes. Les salariés mal payés à cause de la dette de l’état républicain qui maintient une pression fiscale de 63 % sur les entreprises ( IS à 25 % + 30 % de flat taxe + 8 % avec Lecornu et les Socialistes). A une dette élevée correspond un fort taux d’imposition et des bas salaires. La république, c’est un mode de gouvernement qui ne cesse de renforcer l’aliénation fiscale depuis de Gaulle. La république , c’est aussi la stratégie du choc culturel que vous prenez en pleine face en venant de l’aéroport de Roissy dès que l’on traverse Barbès, constellée de grappes humaines du sub-Sahara qui squattent le quartier Un quartier tiers-mondisé jusqu’au canal Saint Martin, à une lointaine époque si propice à la flânerie. La république, c’est un mode de gouvernement gaspilleur et corrompu, incapable de gérer les finances publiques et spécialisé dans le détournement de milliards de fonds publics hors bilan et via les fameuses opérations extérieures ( opex).

Répondre à ce message

Ne sous estimé pas ce qui se passe. Ils gagnent du temps, c’est pourquoi ils font n’importe quoi.
Le but, gagner du temps.

Répondre à ce message

La République est une idée à laquelle les Français sont attachés comme à un idéal.

Tant que la Répblique produit économiquement et redistribue socialement, elle est acceptée.

Actuellement, bien qu’elle ne produise plus mais redistribue toujours en s’endettant, elle est tolérée.

Mais qu’en sera-t’il lorsqu’elle ne pourra plus rien donner ?

Répondre à ce message