Les faux-culs, ce sont ceux qui changent de masque selon l’heure et la mode. Ils crachent d’abord en traitant les autres de droitardés, comme si l’insulte suffisait à les réduire en cendres. Puis, sans honte ni cohérence, ils retournent leur veste et les encensent comme identitaires, croyant flatter un totem qu’ils ne comprennent même pas. Mais ces étiquettes ne sont que fumée. Car ceux qu’ils salissent un jour et qu’ils glorifient le lendemain ne votent pas, ne trahissent ni leur sang ni leur terre. Ils portent un seul nom, simple, brut, indiscutable : des Français.
On veut les perdre dans des catégories absurdes, on tente de les enfermer dans des caricatures politiques, mais la vérité refuse la cage. Il n’y a pas de “droitardés”, il n’y a pas d’“identitaires” : il n’y a qu’un peuple, malmené, trahi, réduit au silence par ceux qui vivent de ses fractures. Et ce peuple-là, qu’on le raille ou qu’on le caresse, reste ce qu’il est : français.