Ce n’est pas nous qui le disons, c’est d’abord Jack Beaumont, l’ex-agent de la DGSE qui a fait couler pas mal d’encre, et de sang apparemment. Il y a bien sûr des ennemis déclarés de la France, mais parfois, on peut supposer que, sur le sol national, donc sous la responsabilité de la DGSI, des opposants non dépravés qui aiment la France sont éliminés.

Une autre personne qui revient souvent dans l’actualité dit la même chose que Jack, sans passer par le concept MICE, celui par lequel nos élites ou nos ennemis peuvent cracher le morceau ou subir un chantage.

C’est avec d’immenses pincettes et une paire de gants de pompiers hydro et ignifugés que nous posons avec d’infinies précautions cette vidéo d’une certaine madame Owens, traduite de l’américain. Cette beauté farfelue suppose que le journaliste qui a interrogé le Président pour Paris Match serait de nature à préférer les garçons. N’importe quoi, la catho ! Dès qu’on n’est pas catho on est pédé, c’est ça ?

Il est vrai que madame Owens est poursuivie en justice par monsieur Macron, un jeune homme très respectable marié à une non moins respectable très vieille dame, pour avoir allégué que la compagne du président serait née homme et aurait changé de sexe entre-temps.

Une infox traitée comme il se doit par la grande presse qui appartient à des milliardaires de mèche avec l’Élysée, qui les arrose de subventions étatiques – car les Français n’achètent plus leurs journaux – pour services rendus à la propagande.

Profitons-en pour tordre le cou à la rumeur qui veut que Brigitte soit un homme-femme. Pour cela, rien de tel que l’IA, qui vaut tous les fact-checkeurs. Au fait, quelqu’un a des nouvelles de Julien Pain ? On est assez inquiets...

Voilà, maintenant, cette affaire semble définitivement réglée. Il était temps !

On était partis sur une élite dépravée, du moins en partie, qui serait forcée de prendre des décisions contraires aux intérêts du peuple parce qu’elle serait tenue. Mais tenue par qui ? Par d’autres membres plus importants de l’élite, une méta-élite ?
Il y aurait donc une élite au-dessus de nos élites, si l’on en croit Jack & Candace, qui tiendrait par les déviances sexuelles (homosexualité, pédophilie, SM, uro-scato, viol, snuff et compagnie) beaucoup de nos chers dirigeants.

Si l’on conçoit que François Hollande avait une maîtresse, ce qui est malheureusement banal, et trompait Ségolène avec Valérie, puis Valérie avec Julie, on le voit mal se faire marcher dessus par une maîtresse SM en talons aiguilles, faut pas déconner non plus. Ni un ancien Premier ministre se faire talquer le cul déguisé en bébé : on va où, sinon ? Passons sur les ministres de la Culture ou de la Justice pédophiles, c’est une tradition en France.

Dans le cas, extrêmement rare, où des représentants médiatico-politiques se feraient tenir par la peau des fesses, grâce à des fiches (notes blanches) remontées au ministre de l’Intérieur, centre du renseignement, alors Beauvau tiendrait Matignon et l’Élysée, si toutefois le Président et son Premier ministre étaient de gros déviants.

Heureusement, ce n’est pas le cas. Mais si c’était le cas, ceux qui tiendraient Beauvau seraient les rois du pays. Le ministre de l’Intérieur étant nommé par l’exécutif, donc inférieur, alors qui tient vraiment Beauvau ?

Si quelqu’un a une idée, qu’il l’envoie à la Rédac, nous on sèche.

Puisqu’on parle du CRIF, son président, qui se prend un peu pour le président des Français (antisémites) et l’arbitre de toutes les élégances, demande à changer la programmation de Rock en Seine. Pour mettre Amir à la place de Kneecap ?

Le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) a demandé jeudi la déprogrammation du festival Rock en Seine à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), du concert prévu dimanche du trio nord-irlandais Kneecap, engagé pour la cause palestinienne et accusé de soutenir le Hezbollah. « En maintenant les Kneecap, les organisateurs transforment Rock en Seine en festival de la honte », a déclaré le président du Crif, Yonathan Arfi sur X. « Ils profanent la mémoire des 50 Français victimes du Hamas le 7 Octobre comme de toutes les victimes françaises du Hezbollah, dont les 58 soldats français morts le 23 octobre 1983 lors de l’attentat du Drakkar [à Beyrouth, ndlr]. Les artistes peuvent être engagés mais les apologistes du terrorisme n’ont pas leur place dans des festivals en France », a dénoncé le responsable du Crif. (Le Figaro)

Aussitôt, l’Intérieur embraye et c’est la chaîne CJews, oups, CNews, qui fait le job, en oubliant qu’en anglais le « k » ne se prononce pas en début de mot. Et dire qu’il y en a qui se moquent du stagiaire de BFM...

L’ironie de l’histoire, c’est que le festival en question est dirigé par un certain Matthieu Pigasse, banquier d’affaires de son état et amateur de rock ! La France, c’est un carnaval.
Qui approche du point de rupture.

L’offensive LGBT décryptée par Faits & Documents