Dans la longue, trop longue liste des people collabos du covidisme, cette répression économico-sanitaire, exhumons aujourd’hui Alain Souchon.
Allo maman, j’ai mal au covid
DEVOIR DE MÉMOIRE
07/2021 Alain Souchon : « On a la chance de disposer de vaccins mais pas mal de gens hésitent encore ou refusent de se faire vacciner. Il y a d'autres pays plus pauvres dans le monde où les gens voudraient bien mais n'y ont pas accès. C’est extraordinaire… pic.twitter.com/xdJuWlsI3H
— Ni Oubli Ni Pardon (@NiONiPardon) August 15, 2025
Chaque jour, les mots malheureux de ces idiots ou de ces corrompus (Bachelot, à l’époque ministre de la Culture, c’est-à-dire des People, leur a lâché deux milliards) ressortent sur le compte Ni Oubli Ni Pardon. Ce concept (très peu chrétien) a été subtilisé aux antifas, qui n’en ont rien fait. La nature politique a horreur du vide.
Alain, « père de » Pierre et Ours, « fils de »
Le Souchon, qui fit dans les années 70 de bien jolies chansons, bien qu’il chantât l’abattage de l’homme et l’érection de la femme à coups de guitare et de pleurniche – une technique d’approche des femmes efficace, le bouc déguisé en chevreau –, nous présente donc ses deux fils, qui reprennent évidemment le business du père, comme de vulgaires Raphaël Enthoven, Raphaël Glucksmann ou Louis Sarkozy.
On espère que cette archive gênante ne viendra pas heurter la petite affaire de famille (Souchon père vendait 500 000 albums en 1999, moins de 200 000 vingt ans plus tard, mais le milieu parle toujours de « succès »). On se rappelle des conséquences désastreuses de déclarations similaires sur la carrière d’un Bourdon ou d’un Dubosc.
Aujourd’hui, parallèlement à la chute de l’élite politique, on assiste à la chute de l’élite culturelle. Plus grand-monde ne croit les hommes po sur parole, et plus grand-monde n’achète la production de biens de consommation culturels. Certes, il y a encore des votes et des achats (c’est la même came), mais ça se raréfie : le désintéressement dû à la méfiance, elle-même due aux trucages, frise le boycott.
Les hommes po sont rattrapés par le réel. Illustration avec les ennuis de la malheureuse Sardine, qui a aimanté la colère des agriculteurs.
Ce n’est que Sandrine Rousseau, une paille dans la république (on ne parle pas ici du débat sur la loi Duplomb), mais un signe fortement annonciateur. La reconnexion entre élite et peuple se fait dans le réel, plus à travers les médias, qui sont corrompus, donc pro-élites. Sur les réseaux sociaux, la messe est dite : le rejet est total, lapidaire.
Heureusement pour ces belles âmes, la police veille, qui se transforme en force d’interposition politique, donc antisociale. Elle ne gère plus la sécurité du peuple, mais celle de l’élite. Au même moment, pour que tout soit raccord, la tyrannie européenne sort une loi pour embastiller les journalistes non corrompus.
Ces rafistolages ne tiendront qu’un temps : si le pouvoir, profond ou exécutif (celui qui exécute les ordres du premier, jamais élu mais qui s’imagine l’être) coupe le robinet des RS, alors le contact peuple-élite aura lieu dans la rue. C’est un dilemme qu’on n’aimerait pas avoir à gérer. Mieux vaut gérer la colère dans les médias !
« Il suffira d’une étincelle »
On sait depuis octobre 2005 que le pouvoir peut provoquer des émeutes, qu’il est plus ou moins capable de les contrôler, mais qu’elles peuvent lui échapper. Ceux qui en France préparent une guerre civile devraient calculer plus loin qu’un coup à l’avance.