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7 octobre (1952) : souhaitez un bon anniversaire à Vladimir Poutine !

Poutine a tout changé, depuis qu’il est au pouvoir. Il a changé le visage de la Russie, et aussi le visage du monde : les autres doivent compter avec lui.

Une date à marquer d’une pierre blanche

 

 

Les Occidentaux le détestent depuis qu’il a relevé la Russie, qui du coup ne sera pas dépecée par les grandes multinationales avides de matières premières. Il a aussi défendu la Russie, comme Staline l’avait fait dans les années 30 avec un programme de réarmement et de modernisation qui sauvera l’URSS une décennie plus tard. Malgré, il est vrai, un départ quelque peu chaotique à l’été 1941.

La Russie, on le voit, sait renaître de ses cendres : elle a survécu à l’attaque allemande (des années 40), à l’attaque du capitalisme (des années 90), puis à l’attaque de l’OTAN (depuis 2014). Elle paye cher sa survie et sa souveraineté, mais elle est toujours debout, malgré ses blessures.

La France de Macron, elle, n’est plus debout, elle est à genoux, comme l’avait prédit cette « grosse merde » de Le Maire – qui s’est juste trompé de pays –, et notre président mal-aimé veut qu’elle rampe. Devant qui ? L’Amérique et Israël.

Pour dire la popularité de Poutine, tout le monde sait qu’il est né un 7 octobre, une date fétiche, donc, pour les non-alignés, pour les BRICS et le Sud global. Macron ? Personne ne connaît sa date d’anniversaire, et tout le monde s’en fout : c’est simple, même Minc le rejette.

Le couple royal, adulé par 10 % des Français (les plus de 65 ans), se pavane au Luxembourg, le pays sans Gilets jaunes et sans smicards :

 

 

En Russie, l’image du couple Macron est salement écornée. En Amérique, pourtant le pays auquel Macron a vendu nos fleurons, histoire d’enrichir la Banque, son employeur, il n’est pas non plus en odeur de sainteté.

 

 

En France, ça tangue depuis 2018 et la révolte des Gilets jaunes : on comprend que le Macron n’aime que voyager. Il a fait quatre fois le tour de la Terre, nous dit la presse.

 

 

À côté de ce désastre ambulant, lâché même par les médias qui l’ont fait roi, Poutine fait figure de héros, de chef de guerre et de sauveur national. C’est simple : depuis Sarkozy, on n’a que des présidents américains. Les Russes, eux, ont un « de Gaulle » (relance du pays, grands travaux, effort de défense, souveraineté, nucléaire, croissance, poids international, diplomatie efficace), et ça fait toute la différence.

Allez, pour les 79 ans de Mireille (l’âge de Brigitte !, mais sans l’impopularité de la première « dame ») et les 73 de Poutine, un petit tour de chant sur la Place Rouge. C’est filmé par la CIA mais c’est pas grave : l’émotion est là. Avec Brigitte (Bardot, pas Macron), Mirelle est la der des der !

 

Mireille, qui admire Poutine, convoquée devant le tribunal de France Télévisions (octobre 2014)

 

Poutine superstar

 






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