L’UPR va descendre dans la rue le 10 septembre ?
On nous l’a promis, on nous l’a chanté, on nous l’a vendu.
Mais à la fin, qui descend ? Personne.
L’UPR va descendre dans la rue le 10 septembre ?
Asselineau en tête ? Non !
Asselineau derrière son pupitre, encore et toujours.
Trois heures de diaporama, zéro heure de combat.
L’UPR va descendre dans la rue le 10 septembre ?
C’est beau sur YouTube, c’est propre dans les conférences.
Mais la rue, elle, elle gronde, elle brûle, elle cogne.
Et là… silence.
L’UPR va descendre dans la rue le 10 septembre ?
Non. Parce que l’UPR, c’est la religion du commentaire,
pas l’art de la confrontation.
C’est la liturgie des traités, pas la sueur du pavé.
L’UPR va descendre dans la rue le 10 septembre ?
Non. Parce qu’ils aiment trop le confort des chiffres
et pas assez la morsure des matraques.
L’UPR va descendre dans la rue le 10 septembre ?
Jamais. Jamais. Jamais.
Alors répète-le bien fort, que ça claque :
L’UPR ne descend pas. L’UPR ne descendra jamais.