Dialogue Soral-Douguine : Katechon et Russie
4 septembre 18:44, par Maurice
Si j’ai bonne mémoire Alain Soral, est fin connaisseur de Robespierre, dit l’incorruptible, or Robespierre c’est ce qu’on pourrait appeler l’universalisme concret.
En opposition au libéralisme de certains, puisque le libéralisme ne peut être qualifié que d’être un particularisme et de ce fait ne peut pas être autre chose qu’un système, un procès d’exclusion, humanité superflue.
La baisse "tendancielle" du taux de profit ne peut être niée même par les plus forcenés de l’anti-Marxisme.
Ce qui veut dire que le libéralisme porte dans sa structure même, son noyau, les conflits et les guerres.
C’est cette contradiction entre le libéralisme occidental et une forme de socialisme (Plus de justice sociale, marché équitable gagnant/gagnant, Etat stratège, fin de l’hégémon).
Qui pourrait dans l’absolu signifier que le Katéchon se trouve à l’Est en tant qu’universel concret.
La mort du socialisme Français et de manière plus large la gauche qui a intégrée la fin de l’histoire et par là même le début de sa fin en son livre de chevet au plein sens, embrasse le libéralisme abandonnant l’universalisme une marionnette ventriloque, un universalisme abstrait, libérale ayant une peur panique de la révolte, n’ayant plus comme argument ’démocratie démocratie’ la gauche ne fait plus qu’un bruit blanc, inaudible.
Ce qu’il faudrait c’est maintenant que tout ce joli monde entendent la vox populi .