Praud et Caron répondent à côté, ils répondent leur projection française sur la Palestine

Praud fait la même réponse qu’il donnerait si un jour l’Etat français décidait de la rémigration et défonçait les banlieues récalcitrantes et en sécession. Il penserait au pourrissement des décennies précédentes, à la guerre civile larvée, à l’invasion décontractée, à la complaisance silencieuse de populations venues vivre "comme chez elles", et pareil, il ne "pourrait pas condamner", et se contenterait de traiter cela comme d’un sujet d’Histoire sombre et nécessaire, un épisode à la Charles MARTEL dont il n’y a pas lieu de s’offusquer quand on est français et que ça fait 50 ans qu’on attend une "réponse".

Caron également, projette son combat antiraciste français sur la question palestinienne.

L’un et l’autre sont incohérents ; Praud devrait soutenir les palestiniens autochtones, et Caron les indigènes israéliens "chances pour la Palestine".