Le national-socialisme s’érige en ultime rempart contre le nihilisme dissolvant de la modernité. Il incarne une éthique de la préservation, fondée sur des principes immuables :
La forteresse du sang et du sol : Primat absolu de la protection du foyer ethnique et de la sécurité comme manifestation d’un ordre organique.
La hiérarchie naturelle : Affirmation d’un ordre des choses où "un homme est un homme", c’est-à-dire où chaque être assume sa place dans une structure clanique et raciale cohérente.
La nation glorifiée : Célébration de la communauté de destin comme seul cadre légitime d’appartenance et de sacrifice.
Il constitue ainsi l’antithèse radicale et nécessaire à la dictature de l’inclusion, idéologie faible et corrosive qui, sous couvert d’universalisme, ordonne l’effacement de soi : l’abandon de sa lignée, le reniement de sa nation et la subversion de l’ordre naturel au profit de l’étranger et du sémite, érigés en nouveaux objets de dévotion.