La France avait autrefois un système éducatif hyper élitiste, et les gens suivaient la cadence... pas la peine de faire de la démagogie collectiviste ni de couper les têtes qui sortent du lot (sinon, on est sûr de couper la tête à tous ses génies)... En outre, l’importation massive de populations du tiers-monde, avec leurs cultures du tiers-monde, entraîne inéluctablement l’abaissement du niveau (exception faite de l’assimilation)...
C’est au contraire en permettant aux génies d’exprimer leur talent, et de créer de nouveaux emplois, que l’on fait ensuite progresser les masses... Lorsqu’un génie découvre la machine-à-vapeur, l’atome ou l’informatique, alors il crée une entreprise pour le vendre aux masses. Et bientôt, les masses bénéficient toutes de ce progrès découvert par un seul individu. C’est ça le mécanisme. C’est ce que Frédéric Bastiat appelait : "le libéralisme est le véritable communisme".
Au contraire, lorsque l’on contraint les génies (par définition minoritaires et souvent fragiles) à supposer le "vivre-ensemble" avec des hordes de médiocres, alors on sombre dans la démagogie... on se retrouve avec des Kepler et des Newton vendeurs de fast-food collectivistes. Quel gâchis !
Ce qui est mauvais dans l’éducation française, c’est l’aspect technocratique et centralisé, et non l’aspect élitiste... au contraire, l’hyper-élitisme français est parfois même recherché par les multinationales anglo-saxonnes. Mais ce qui est gênant en France, c’est le côté centralisé (une seule pensée, une seule école, une seule respectabilité). Il faudrait parvenir à coupler l’élitisme et la liberté.