@soyons précis
Même si le régime national-socialiste ne condamnait pas fermement l’usure, il a fait en sorte de virer manu-militari les usuriers du réseau bancaire, à coup de milliers de licenciements. Leurs bilans et leurs impacts sur la crise économique n’étaient plus à démontrer.
De plus, le reichmark étant interdit ( pendant une partie de la 2ème guerre mondiale) sur les places internationales, a conduit le régime à se détourner des institutions bancaires pour les importations de produits vitaux ou métaux servant dans l’armement ( tungstène, cobalt, notamment) en règlent la facture en produits manufacturés ( tracteurs, pelleteuses, outillages BTP etc...) et, se faisant, effaçait toute commission ou taux d’intérêts bancaires suite à cette transaction marchande.
Du troc au niveau étatique ( cf : " Le magicien d’Hitler" d’Hjalmar Schacht, aux éditions KK).
C’est cette méthode qui fait trembler La Banque.
Quasi plus besoin d’Elle pour des dizaines de milliards de dollars d’échanges commerciaux, plus de taux d’emprunts pour les pays endettés (ou qui ne peuvent faire autrement), plus de commission ou de rétro-commission, c’est la dèche pour les parasites monétaires que sont les usuriers.
Après, on en revient â la proposition Pascalienne versus la proposition Cartésienne.
C’est, personnellement, la vrai réflexion à se poser en terme de vision politique mais le confort, arme de destruction massive, oeuvre tel une termite dans un pied de commode.
Que deviendra l’Homme Moderne ?