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Alexandre Latsa râle contre la bise française

Il y a quatre façons de se dire bonjour, entre hommes : la poignée de mains, le check à l’américaine (et à la covidiste), le « bonjour » verbal, et la bise. Latsa s’insurge contre cette dernière tendance, et contre le « râlage » français.

« Le Français est un râleur, il se plaint de tout. »

 

La question du râlage n’est pas si anodine que ça : le râlage peut être un effet de la soumission mais aussi une caractéristique de l’insoumission. Il est la soupage des gens qui se plaignent mais qui ne font pas grand-chose pour que ça change, mais il est aussi ce bruit de fond qui est à l’origine de l’amélioration des choses. En fait, il y a deux sortes de râleurs : les râleurs actifs et les râleurs passifs.

Par exemple, Alexandre a quitté la France pour la Russie qui lui offre plus de potentialités, car en France, les profils hors Système ont du mal à faire leur trou. En même temps, il râle contre les Français qui râlent, il a donc une survivance de Français en lui. Ceux qui ont monté les premiers syndicats étaient forcément des râleurs, et quand des râleurs se mettent ensemble, ça devient un objet politique. C’est pourquoi la France a connu beaucoup de changements de régimes, beaucoup de révolutions, et de heurts sociaux. De ce point de vue, on est les champions du monde

Râler, c’est extérioriser ce qui ne va pas, c’est l’exprimer, et les psychologues vous diront tous que c’est déjà un premier pas. Mais ce pas n’est pas suffisant. Ensuite, il est possible de réutiliser cette énergie, sur le modèle du moteur GTI, cette innovation avec son injection de carburant. Râler sans agir équivaut à faire du surplace, à se condamner à râler toujours. Mais il n’est pas facile de changer de vie : cela demande de l’audace, une prise de risque.

On a alors le choix entre le combo routine-râlage et le combo risque-amélioration. En général, les gens qui changent de vie ne le regrettent pas, c’est le cas de la majorité des expatriés, pour qui la réadaptation à une nouvel environnement n’est pourtant pas simple. Rien d’ailleurs ne leur interdit de râler dans leur nouveau pays... Comme quoi, c’est un réflexe naturel, une forme d’adaptation.

On ne peut pas non plus trop charger les râleurs dans une société dystopique, qui prend un mauvais virage et qui perturbe les équilibres personnels et sociaux. Le temps de prendre la mesure du changement, il est déjà trop tard : la vaccination dangereuse et forcée est passée par là. Le gouvernement gouverne à coups de psychoses et de répression, il est donc, pour les râleurs passifs, très difficile de s’en sortir : la majorité des gens sont piégés.

Alors que tous les conscientisés ont vu les vidéos des médecins et des chercheurs expliquant la dangerosité de ces injections, le SPA continue à les promouvoir sans s’émouvoir. Comme toujours, il s’agit de protéger les populations les plus fragiles, autrement dit les plus flippées, et les plus flippables. On instille la peur, et on vend le pseudo-médicament contre la peur.

Toutes les personnes susceptibles de développer une forme grave de la grippe et du Covid-19 sont invitées à se faire vacciner contre ces deux maladies. Il s’agit principalement, selon l’Assurance-maladie, des personnes âgées de 65 ans et plus, des femmes enceintes, des personnes atteintes de comorbidités (comme l’hypertension artérielle, certaines maladies chroniques, le diabète, l’obésité ou un cancer) et des personnes immunodéprimées.

Les soignants et les personnes travaillant dans le secteur médico-social sont aussi concernés, tout comme les proches de personnes immunodéprimées ou vulnérables. Il en va de même pour les résidents en Ehpad et en unités de soins de longue durée.

S’attaquer avec des piqûres à ces catégories dites fragiles est quasi criminel, au moment où les stats de la mortalité vaccinatoire confirment le jugement et l’intuition (dès 2020) des antivax.

 

 

Ce faisant, France Info envoie des innocents au casse-pipe, tout simplement.

On lance un dernier avertissement à tous les candidats aux effets secondaires avec cette information sur le dernier ministre de la Santé en date. Vous remarquerez qu’ils passent très vite, sur ce poste, comme si le siège était brûlant...

 

 

L’étape suivante du râlage, c’est l’exaspération, prélude à l’abattement… ou à l’action. Ce tweet le dit très bien : « Pour le moment, on est calmes. »

 

 

Devenir russe avec Alexandre

 






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65 Commentaires

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  • #3568312
    Le 15 octobre à 07:13 par anonyme
    Alexandre Latsa râle contre la bise française

    Le seul avantage du covid c’est qu’on avait arrêté les bises !

     

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  • #3568336
    Le 15 octobre à 08:17 par antibise
    Alexandre Latsa râle contre la bise française

    Ah et j’oubliais : le salut paume ouverte accompagné du message verbal "salut et fraternité".
    Cela se faisait, entre hommes de même métier ou proches par l’amitié.assez couramment, en France.
    La fraternité n’est pas réservée aux faux-frères.

     

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  • #3568338
    Le 15 octobre à 08:24 par RÉSISTANCE
    Alexandre Latsa râle contre la bise française

    La psychiatrie tient un rôle important dans leur plan satanique car ils y enferment les gens résistants à cette vaccination diabolique. Aucune information ou REINFORMATION ne passe, vous avez beau leurs expliquer preuves à l’appui que l’ARNM messager donne le cancer, ils continuent à vacciner alors que tous les vaccins sont passés en ARNM messager. On ne prévient pas le patient des effets secondaires, mieux on le drogue on le torture psychologiquement, on l’humilie, on lui fait comprendre qu’il n’est plus rien, on le harcèle, on l’empêche de dormir, on le bombarde de journaux de propagande, on l’empêche de réfléchir avec des jeux à la con, une TV ouverte en permanence, des cris, du bruit constant répétitif et des pseudos soignants ( gardiens de prison) qui sont là pour vous faire taire dès que vous ouvrez la bouche et vous mentir en vous vendant comme des commerciaux leurs vaccins. Les démons sont en blouse blanche et sont corrompus de toute part. On dit qu’un soignant ne gagne pas assez c’est TOTALEMENT FAUX, ces ordures peuvent avoir des salaires qui montent à 4000 euros par mois avec les primes de nuit. Ils acceptent de se taire et de vacciner ( tuer) pour du fric alors qu’ils savent, c’est cela la vérité !

     

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  • #3568345
    Le 15 octobre à 08:50 par expat
    Alexandre Latsa râle contre la bise française

    J’ai vécu longtemps à l’étranger hors Europe et c’était pour moi toujours un plaisir de rencontrer des Français, avec leurs défauts, des Français dans la débrouille en général, tout frais arrivés. Je râlais pas mal aussi, mais en privé, le pays en question ne soutenant pas la comparaison avec la France d’alors.
    Les Français, depuis 50 ans plutôt malmenés, ont un humour à eux, une langue à eux, sont souvent prêts à explorer leur environnement, n’ont pas peur de travailler s’ils entreprennent, et eux aussi sont observateurs, n’en pensant pas moins.
    Ils sont en général près de leurs sous, c’est l’atavisme paysan.
    S’ils vivent bien, ont un certain niveau culturel ou sont franco-français, ils ont la qualité d’être polis.
    A. Latsa n’est pas russe, il est français, avec les défauts et qualités d’un type de Français. Il aime la Russie urbaine, qui ressemble un peu à la France des années soixante. C’est bien naturel. Et aussi parce que lui aussi est un râleur, et que les râleurs aiment bien les gens stoïques, ceux qui ont vécu un drame structurant leur silence, leur humour ou leur charme.Le stoïque a aussi un certain besoin du râleur (ou observateur critique) qui peut comparer les choses et râler pour lui, le taiseux.
    Des Français taiseux, il y en a. Il y en avait beaucoup, même, jadis.
    Des Français diserts aussi, comme Alexandre.
    Quand je vivais à l’étranger, ceux qui vivaient bien restaient entre eux, évitant de fréquenter les aventureux (pas riches). Les Français bien installés, souvent fonctionnaires, sont comme ça.
    Les nouveaux expatriés sont les Français vivant en France "périphérique". Ils sont en quelque sorte expulsés de leur patrie.

     

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  • #3568416
    Le 15 octobre à 13:12 par extatiebaba
    Alexandre Latsa râle contre la bise française

    Je n’ai jamais supporté cette manie de "la bise"...et je refuse de la faire ..homme/femme la n’est pas la question, mais ce frottage de museaux plus ou moins humides et aux odeurs diverses en plus de ce mouvement automatique rididicule...cela rend perplexe autour de moi mais je persiste : un "bonjour"avec un sourire me semble satisfaisant. Pour le francais râleur je vais un peu dans le sens de l’article, il y a râleur et râleur... :) le bon et le mauvais...je crois que cela part d’un sentiment de "on peut mieux faire en faisant plutôt comme ça"...bon après selon la finesse du râleur ça passe ou pas...
    ....

     

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  • #3568437
    Le 15 octobre à 14:34 par Figaro68
    Alexandre Latsa râle contre la bise française

    Râler, c’est pour les choses futiles et sur lesquelles nous n’avons aucune influence mais se plaindre pour des choses injustes qui pourraient facilement être changées, c’est autre chose !

    Le Latsa n’est-il pas entrain de râler contre les Français ? A l’issue de cette vidéo, les Français vont-ils changer ?

    D’après le ton, on sent qu’il est fatigué et/ou énervé de ne pas atteindre ses objectifs...

    En tout cas, pour un entrepreneur, c’est toujours une très mauvaise idée de râler contre ses clients ! Non seulement, il va éloigner les prospects mais en outre, il va se couper de toute une série d’informations utiles pour son business !

    Pathétique !

     

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    • #3568544
      Le 16 octobre à 05:40 par anonyme
      Alexandre Latsa râle contre la bise française

      "Se plaindre", y’a un coté chouinerie et jérémiades... et c’est pas plus efficace que râler !

       
    • #3568644
      Le 16 octobre à 12:58 par Robert
      Alexandre Latsa râle contre la bise française

      Oui, le fameux visa pour les "réfugiés civilisationnels" doit être un échec. Les gens râlent mais n’ont pas envie d’échanger leur vie en France pour une vie en Russie. Malgré la pluie de merde qui vient de nos gouvernants, la vie est toujours plus agréable en France qu’en Russie.

       
  • #3568495
    Le 15 octobre à 22:30 par Hic Rhodus
    Alexandre Latsa râle contre la bise française

    "Je râle par principe"
    (L.F.Céline)

     

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  • #3568646
    Le 16 octobre à 13:09 par A.K
    Alexandre Latsa râle contre la bise française

    La bise est une pratique relativement récente, autrefois on ne se faisait pas la bise en France et surtout pas entre hommes sauf père et fils enfin en famille très proche, sinon on se saluait, se serrait la main , moi aussi ça me choque, j’aime la réserve , de plus je trouve cela peu hygiénique et un peu hypocrite, on a pas à toucher quelqu’un qu’on ne connaît pas vraiment, et ce n’est pas une marque de respect, ni même d’affection, c’est ridicule, et entre hommes effectivement ça manque de virilité ! Par contre, c’est vrai que les français parlent trop , se plaignent de tout et ont un avis sur tout, un avis sur tout souvent alors qu’ils sont incultes,

     

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    • #3568716
      Le 16 octobre à 18:22 par oui-da
      Alexandre Latsa râle contre la bise française

      Moi je les trouve plutôt devenus timides et trop gentils, les Français.
      Comme des enfants battus.
      Jadis ils étaient bourrus, hautains, distants etc. Ne donnaient pas facilement leur amitié.
      Se méfiaient mais poliment.

       
  • #3568782
    Le 17 octobre à 04:52 par anonyme
    Alexandre Latsa râle contre la bise française

    Les bises entre hommes ! On est loin du pouvoir par les burnes dans ce pays..

     

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  • #3569235
    Le 19 octobre à 05:44 par PL
    Alexandre Latsa râle contre la bise française

    " Il y a quatre façons de se dire bonjour, entre hommes : la poignée de mains, le check à l’américaine (et à la covidiste), le « bonjour » verbal, et la bise. "

    C’est complètement faux, il y a en France une seule façon de se dire bonjour pour les hommes, c’est de faire un geste pour s’incliner et de lever une main en l’air pour se découvrir, et des modalités d’intensité innombrables entre une salutation très appuyée où on se découvre solennellement et recule d’un pas, et une salutation à peine esquissée en levant vaguement la main droite vers le haut, et pour les femmes c’est de faire une révérence avec aussi une infinité de modalités entre la grande révérence avec trois pas de danse, et l’esquisse d’une inclinaison en touchant les deux côtés de sa jupe. Le salut est un acte de pacification et de reconnaissance sociale, son intensité permet d’exprimer toutes les nuances de sentiments comme la passion, la crainte, le respect, le défi, la morgue, l’affection, l’insolence, la méfiance, l’autorité, l’ouverture, la réserve, la familiarité, ou l’indifférence. Il s’apprenait avec les danses qui étaient des compositions de salutations.

    Le principe du salut est d’entrer à distance en relation avec une autre parsonne par un geste ritualisé, sans se toucher.

    L’usage de la bise sur les joues en-dehors des membres de la même famille, notamment entre parents et enfants ou entre enfants, cousins ou camarades d’école, est d’un usage très récent, moins d’une trentaine d’années, il vient des homosexuels. On faisait une seule bise sur une joue à Paris et deux ou plusieurs en province.

    L’usage de toucher un interlocuteur, de le palper, est levantin, c’est-à-dire juif.

    La poignée de main et le check à l’américaine c’est le même geste, c’est le salut égalitaire et unisexe imposé au XVIIIe siècle par les Quackers qui refusaient de se découvrir et de saluer parce qu’ils refusaient les hiérarchies sociales et les distinctions entre les sexes et les âges. C’est des Quackers que vient l’usage américain pour les hommes de garder un chapeau ou une casquette vissée sur la tête toute la journée, y compris à l’intérieur des maisons, et même à table, où les hommes doivent toujours se découvrir.

     

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