Egalité et Réconciliation
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Les femmes sont-elles responsables de la guerre que les hommes se font ?

Ulysse revient chez lui incognito, mais Pénélope est entourée de prétendants. Il va falloir la reconquérir.

 

 

 

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Homère par Verbeke & Ndiaye

 






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21 Commentaires

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  • D’après Souchon, oui ...(voir sous les jupes des filles)

     

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  • #3566221

    Les soldats de la seconde guerre mondiale qui ont échappé à la boucherie ont eu l’agréable surprise lors de leur retour auprès de leurs bien aimées de voir qu’elle les ont échangés contre des GI fraichement débarqués. Si faire la guerre peut être une nécessité, le faire pour les femmes est une bêtise absolue.
    Pour la fidélité en temps de guerre on peut repasser, Pénélope ça rime bien avec ce qu’elle est, essentiellement.

     

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  • Dans les sociétés primitives non sédentarisées les femmes ne chassent pas, elles cueillent, collectent racines et fruits. Il est donc probable qu’elles furent à l’origine de l’agriculture, qui amena a la sédentarisation, donc à l’accumulation du capital. Ce qui conduisit les hommes à user de leurs armes de chasse comme arme de guerre. Ainsi, non seulement sont-elles probablement responsables de la naissance du capitalisme mais aussi de ses violences. Nous ne nous battons pas pour les femmes, mais à mon avis pour qu’elles nous foutent la paix.

     

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  • La guerre ne peut avoir qu’un but légitime : Défendre le Droit, faire régner la civilisation.
    Il existe un Droit absolu et un droit fictif, c’est-à-dire relatif.
    Le Droit absolu c’est le Droit « non écrit ».
    Le droit relatif, c’est le droit écrit, celui qui est formulé par les législateurs et inscrit dans les codes actuels.
    Le Droit naturel, « non écrit », est celui qui a créé les anciens usages. C’est le Droit tacite d’autant plus certain qu’il est constant, parce qu’il prend sa source dans la « nature des choses ».
    Or, une société basée sur le « relatif » repose sur une fiction et ne peut aboutir à aucune justice.
    « Les lois sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses », écrit Montesquieu en tête de son « Esprit des Lois ».
    Il existe donc une « nature des choses », c’est-à-dire des « Êtres » qui forment l’ensemble du monde et qui doivent être reliés entre eux de la manière que commande et détermine leur nature.
    Mais J.-J. Rousseau, méconnaissant la nature des choses a dit : « La loi est l’expression de la volonté générale ». Ce qu’on a entendu par « la volonté de tous les êtres du sexe mâle ». C’est l’origine de la démocratie masculine. Or, le nombre ne donne jamais le « Droit » parce qu’il ne donne jamais la juste compréhension des choses. Le nombre est, au contraire, la négation du Droit ; c’est une représentation de la Force.
    Depuis que l’erreur règne, l’âme des foules est écrasée par l’égoïsme des oligarchies régnantes (religieuses ou laïques), fauchant tout dans leur poursuite insensée de la domination, de la gloire, de l’argent, et détruisant le rêve sacré de l’unité des esprits dans la vérité absolue.
    Pendant 2.500 ans l’humanité a vécu sous un régime d’incohérence fait de toutes les folies accumulées :
    - Folie de la domination ;
    - Folie des dogmes ;
    - Folie d’accaparement de richesses folles ;
    - Folie de la réglementation de ceux qui se sont crus autorisés à faire des lois.
    Le monde actuel est un corps social dans lequel la flamme vitale, sans cesse diminuée, va s’éteindre tout à fait si elle n’est renouvelée.
    L’heure est donc venue de supprimer tous les despotismes et toutes les orthodoxies pour faire place à la Vérité qui ne s’impose pas par la Force, mais se propose par la Douceur. L’heure est venue de clore l’ère des persécutions.

     

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    • #3566292

      Ce que tu proposes c’est justement la jungle libérale actuelle dans laquelle l’hypergamie féminine est déchaînée et entraîne des drames en tous genres comme aux usa où l’on ne compte plus les histoires d’amants utilisés par la femme pour assassiner le mari. Seule l’organisation sociale par la religion peut remettre la paix dans les foyers hein et rien d’autre.

       
    • C’est bien de vivre au pays des bisounours mais la guerre c’est le droit du plus fort, point barre. Et même hors temps de guerre, le droit reste le droit du vainqueur et c’est lui qui écrit l’histoire. Les lois, les conventions, les chartes sont faites pour ceux qui y croient.

       
  • La société actuelle est en proie à un malaise qui a comme origine, d’une part la lutte des classes, d’autre part la lutte des sexes. Ces deux questions se tiennent.
    La lutte des sexes a précédé toutes les autres : elle a ouvert la porte à la violation du Droit naturel et d’injustice en injustice le désordre s’est propagé dans la société tout entière ; tous les faibles ont été sacrifiés et la force a régné, aidée par la ruse, par le mensonge, par la terreur.
    La dissolution des Etats, c’est-à-dire le désordre, commença quand certains hommes, troublés par le mauvais esprit qui engendre l’orgueil, voulurent mettre leur personnalité au-dessus des autres, s’affranchir des lois établies et dominer les faibles. Cette révolte fut le commencement de l’erreur sociale, c’est-à-dire de l’injustice.
    Les hommes des temps anciens se sont groupés pour lutter, non pas contre des dangers physiques, mais contre l’autorité maternelle, contre le droit naturel de la Femme, sur lequel s’était élevé la grande civilisation gynécocratique. Cette grande civilisation est celle que l’on appelle symboliquement l’« Âge d’Or ».
    La grande révolte de l’homme contre la Femme ouvrit l’ère des discordes, qui devaient régner si longtemps.
    Le mot « Patar », dans le sanscrit primitif, ne signifie pas « celui qui féconde », mais « celui qui protège ». C’est le frère de la Mère. C’est pour cela que longtemps c’est lui, l’oncle, qui s’occupe surtout de l’enfant, et, quand les hommes de cette époque parlaient de la descendance, ils ne disaient pas « nos fils », ils disaient « nos neveux ». L’enfant grandissait dans sa famille naturelle, qui était sa famille maternelle, n’ayant, quand il était homme, ni responsabilité, ni charges ; donc, pas non plus cette hypocrisie née avec les devoirs factices imposés dans le monde masculiniste (suprématie du Père qui aboutira au fameux « droit paternel »).
    C’est en Egypte, sous les Ptolémée, que sera établit le « droit paternel » qui donnera un coup mortel au régime maternel.
    L’autorité brutale que l’homme a voulu exercer sur la femme et sur l’enfant, sous prétexte de paternité, a apporté le malheur dans le monde et désorganisé la famille. C’est la grande erreur sociale des temps masculinistes.
    Cependant, un immense désir de voir cesser l’horrible désordre allait désormais régner sur la Terre !

     

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    • #3566296

      ’’L’autorité paternelle a désorganisé la famille’’.
      Il n’y a plus d’autorité paternelle et il n’y a donc plus de famille aujourd’hui. C’est quoi cette armée de cucks dans la section commentaires en se croirait dans un forum de libé.

       
  • Les femmes ont été les grands vecteurs du christianisme en Europe, ce qui a permi de s’étriper au nom de l’Amour.

     

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    • #3566295

      Toujours à côté de la plaque toi décider c’est parfaitement ahurissant. Les femmes même nationalistes, évitent soigneusement le retour au catholicisme et lui préfèrent le paganisme qui leur permet de se comporter comme des gauchistes tout en jouant les patriotes. C’est justement le christianisme qui limitait leur hypergamie et donc favorisait la concorde entre les hommes et la paix dans leurs foyers.

       
    • "Toujours à côté de la plaque toi .. "

      Merci de ne pas mettre tous les "anonyme" dans le même panier.

      Je me dissocie totalement de ses propos, et appelle à maintenir un niveau de discussion élevé, en lien avec ce pseudo !

       
  • L’auteur de « l’article » n’a pas, manifestement, lu L’Odysée ou à tout le moins vu le film dont est tiré l’extrait. Pénélope y est présentée comme l’épouse fidèle par excellence. Elle fait gamberger ses prétendants plus de 20 ans, prétextant la fin du tissage d’une tapisserie dont elle défait chaque nuit le travail exécuté pendant la journée. Et c’est suite à une trahison et les menaces portées à l’encontre de son fils Télémaque qu’elle recours à ce stratagème, en sachant bien qu’aucun de ses prétendants ne pouvaient utiliser l’arc d’Ulysse.
    Héléne et la Guerre de Troie aurait mieux illustré votre « propos ». Si on peut appeller un titre et un extrait de film, un propos.

     

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    • Oui , je m’ étais fait la même remarque..
      Le stratagème de la tapisserie illustre la routine quotidienne , propre aux femmes fortes qui maîtrisent ainsi l’ instabilité émotionnelle et sentimentale que leur impose leur nature.. que d’ intelligence dans ces œuvres antiques !

       
    • Oui enfin en revanche on peut pas dire que son époux se sont montré des plus fidèle avec son aventure avec la fermière bio Circée. Si ça avait été elle qui avait pris du bon temps par contre, ça aurait été elle la méchante de l’histoire.

      Quant à la guerre de Troie tout le monde s’en fichait du cocufiage divin de Ménélas, c’était un prétexte. Les Grecs ont toujours voulu envahir la cité de Troie et Hélène n’en a été que l’instrument.

       
  • Selon certaines traditions ésotériques (notamment inspirées du yoga ou de la gnose), l’Odyssée décrit une ascension vers la lumière, où chaque obstacle est une porte vers une conscience plus élevée. Le voyage d’Ulysse devient alors une métaphore du chemin initiatique, où l’homme doit traverser ses ombres pour retrouver son essence divine. Ainsi, les Chants I à IV sont un appel de l’âme et la quête du père.

    Télémaque part à la recherche de son père : c’est le début de la quête intérieure, l’éveil du désir de vérité.

    Athéna guide Télémaque : elle représente l’intuition divine qui pousse l’âme à se mettre en route.

    Les prétendants : symbolisent les forces de distraction, les désirs qui envahissent l’esprit en l’absence du maître intérieur.

    L’Odyssée devient ainsi une carte initiatique : Ulysse figure l’âme humaine, errante dans le monde des formes, qui doit traverser les épreuves pour retrouver son essence divine.

    Chaque chant est une porte vers une conscience plus élevée, une étape vers la réalisation du Soi.

    Homère fut un Initié aux Mystères petits & grands. Dans la religion grecque antique aux Mystères d’Éleusis dans le temple de Déméter à Éleusis (à 20 km à l’ouest d’Athènes).

    Au cours de leur évolution, les mystères d’Éleusis se sont ouverts d’abord à tous les Grecs, puis à tout homme ou femme, libre ou esclave, parlant grec. L’initiation comportait plusieurs degrés.

    C’est ce dont le laïos a et aura besoin pour fonder son ésotérisme démocratique avant qu’il n’apparaîsse dans les faits de manière exotérique.

    Actuellement le laïos (peuple) disperse ses énergies non seulement dans le divertissement mais les dilapide dans des logorrhées socio-politiuqes, économico-politiques stériles hormis le fait qu’elles augmentnt le niveau de conscience, mais c’est tout.

    Homère ce n’est pas de la littérature poussérieuse des Anciens. Il a écirt ce récit car il ne devait pas dévoiler à juste raisons l’initiation qu’il avait reçue sous peine de mort, non pas tant par le contenu des révélations de la Gnose mais parce que le Silence des silences fait partit intégrante et non transmissible ni par la parole, ni par l’écrit de l’expérience de la traversée de l’âme dans les mondes invisibles.

    Rares sont les femmes initiatrices.

    Notre société médiatisées est trop prolixe. Une partie du laïos dont ses représentants s’adonne à des addictions pour se libérer de l’emprise de la matière et de la matrice, au lieu de « cherchez, on vous ouvrira ... »

     

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  • #3566291

    C’est une évidence. Encore plus aujourd’hui où tout un tas de crevards se battent jusqu’à la mort pour un cageot en occident. Mais les premiers responsables sont bien sûr qui nous savons, pour des raisons évidentes.

     

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  • Tout en lisant l’Illiade et l’Odyssée, autant que les Métamorphoses d’Ovide et ceux au cœur de KK, il faut lire ces deux bouquins, ou voir les deux films qui en ont été tirés : « Le diable au corps » (autobiographique) et « Le mépris ». L’avant et l’après...
    Et une fois saisies les ambiances, « Bel ami », de Maupassant : signifiants, signifiés, sens cachés...

     

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