Pour s’être exprimé librement en 2020 dans une série de vidéos intitulées Soral a presque toujours raison – Réflexions sur le couillonavirus, Alain Soral a été poursuivi par le pouvoir en place, sous de multiples prétextes dont celui « d’atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation » (de la nation juive ?)
Sa condamnation est tombée le 11 septembre dernier :
Un an de prison ferme non aménageable (de plus !)
29 500 € à verser, entre amende à l’État et dommages et intérêts aux parties civiles.
Mettre Alain Soral en prison et l’étouffer économiquement afin de le faire taire, tel est le projet de ces « parties civiles », appellation dissimulant une armée d’associations communautaires, à savoir : la LICRA, l’UEJF, l’OJE, SOS Racisme, le MRAP, auxquels se sont ajoutés les non moins communautaires couples Lévy-Buzyn et Guedj.
Afin de tenir tête à cette insupportable tyrannie des minorités,
soutenons Alain Soral
Alain Soral, premier résistant de France
À l’heure où de plus en plus de médias « dissidents » se développent sur Internet, il est bon de rappeler qu’Alain Soral, c’est :
Plus de 20 ans de persécutions physiques, médiatiques, fiscales et judiciaires
Près de 90 procès dont 23 condamnations définitives pour délit d’opinion
Avec à la clef près de 6 ans de prison ferme et 450 000 euros d’amendes.
Historique de l’affaire
Le 24 mars 2020, dans une vidéo intitulée Soral a presque toujours raison – Réflexions sur le couillonavirus, Alain Soral analysait la « crise sanitaire » et les acteurs présidant à sa gestion, qu’il qualifiera de « liste de Schindler ».
Le 4 mai 2020, dans une seconde émission avoisinant le million de vues sur YouTube, il comparait ironiquement les manifestants américains armés aux adeptes du RIC d’Étienne Chouard.
Le ministre de l’Intérieur de l’époque, Christophe Castaner, faisait un signalement dès le 2 avril 2020 à la justice, afin de le poursuivre.
C’est ainsi que, le 28 juillet 2020, Alain Soral était arrêté en pleine rue à Paris par quatre policiers en civil.
Placé en garde à vue, il sera :
Interrogé par des enquêteurs de la police judiciaire (brigade de la répression de la délinquance contre la personne)
Perquisitionné, et se verra confisqué ses appareils de travail ainsi que ses notes dans le cadre de l’écriture de son livre Comprendre l’Époque ;
Déféré devant un juge d’instruction pour être incarcéré.
Par miracle, ce dernier décidera de relâcher notre président, qui sera libéré après 48 h de garde à vue.
Aucun de ses biens confisqués ne lui seront rendus à sa sortie, pas même ses notes. En revanche le journal israélien Libération publiera en toute illégalité les informations contenues dans les éléments confisqués, ce qui en dit long sur les dysfonctionnements de la justice française.
C’est à la suite de cette garde à vue qu’Alain Soral sera forcé de s’exiler en Suisse.
Le jugement
Suite à cette garde à vue, Alain Soral avait été renvoyé devant la justice, poursuivi sur la base des griefs suivants :
Provocation publique non suivie d’effet, en appelant directement à commettre l’un des crimes et délits portant atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation ;
Injure publique à raison de l’origine ou de l’appartenance ou de la non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ;
Provocation publique à la haine ou à la violence, à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de l’origine ou de l’appartenance ou de la non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée.
Fourre-tout aussi vague qu’imprécis permettant de rendre tout propos condamnable.
La LICRA (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme), l’UEJF (Union des étudiants juifs de France), l’OJE (Organisation juive européenne), SOS Racisme, le MRAP (Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples), le couple Lévy-Buzyn et Guedj se sont ensuite constitués « partie civiles ».
Bien que virulents, aucun des propos d’Alain Soral mis en cause au nom des motifs de poursuite ci-dessus ne tombent sous le coup de la loi, ce que son avocat a rappelé durant tout le procès :
Ceux sur les armes sont sa libre opinion sur le deuxième amendement de la constitution des États-Unis sur le droit au port d’armes des citoyens, dans le contexte de la contestation du résultat des élections américaines de 2020 ;
Ceux sur la liste de Schindler ne portent à aucun moment sur une ethnie, une nation, une race ou une religion, mais très clairement sur certaines personnalités en charge de la gestion de la crise sanitaire de 2020.
Malgré ces rappels de bon sens, ces lois scélérates ont été une fois de plus utilisées pour faire condamner Alain Soral, qui a fait appel.
Prochain procès : demain en Suisse ?
Toujours pour les mêmes motifs et sur l’impulsion des mêmes, Alain Soral peut désormais s’attendre à un autre procès d’envergure, côté Suisse cette fois.
En effet, suite à une seconde garde à vue subie en mai 2025 – après avoir été interpellé par les forces de l’ordre suisses et perquisitionné à son domicile lausannois – notre président est sous le coup d’une enquête pour provocation publique au crime (crime de lèse-majesté ?)
Affaire à suivre sur laquelle nous vous tiendrons régulièrement informés.
Rappelons que depuis 2020 et son exil en Suisse, Alain Soral a déjà été condamné à 40 jours de prison ferme (peine purgée à domicile à l’été 2024, sous bracelet électronique), pour « homophobie » prétendue dans l’affaire dite de « la grosse lesbienne ».
Une condamnation inédite et scandaleuse qui a fait réagir dans le monde entier : États-Unis, Chine, Russie, jusqu’en Corée du Nord. Même Elon Musk l’a commentée !
Afin de tenir tête à cette insupportable tyrannie des minorités,
soutenons Alain Soral